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Sous morphine, Johnny délirait : "Papa viens me chercher"

2 participants

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Sous morphine, Johnny délirait : "Papa viens me chercher" Empty Sous morphine, Johnny délirait : "Papa viens me chercher"

Message  le rebelle Dim 5 Sep 2010 - 19:39

Sous morphine, Johnny délirait : "Papa viens me chercher" Johnny12

Johnny Hallyday livre enfin sa version des faits sur son coma à Los Angeles. Dans une longue interview livrée au Journal du dimanche, le chanteur revient sur son cauchemar : "J’étais un homme plein de larmes et il suffisait que quelqu’un me dise ‘Comment vas-tu ?’, et je m’effondrais", dit-il.

"Pour la première fois depuis des mois, j'ose regarder en avant", explique Johnny Hallyday. Cette phrase est extraite de la longue confession publiée dans "Le Journal du dimanche", dans laquelle le chanteur revient sur ses problèmes de santé et le "cauchemar qu'il a traversé". Il évoque notamment son mal de dos soigné à l’automne dernier à coups de piqûres de cortisone et d’anti-inflammatoires : "Des doses de cheval", dit-il. Arrivé à Los Angeles, la douleur est atroce, à tel point, précise le chanteur, qu’il se tapait la tête contre les murs et ne dormait plus du tout. Le 7 décembre, à l’heure du déjeuner, il perd connaissance. C’est là que Laeticia le conduit à l’hôpital.

Johnny délire : "Papa, viens me chercher"

Placé sous morphine, Johnny commence à délirer. Les médecins lui expliquent qu’il appelle son père, ce père qu’il n’a pas connu et qui l’a abandonné enfant : "Papa viens me chercher", crie Johnny sur son lit d’hôpital. Avec le recul, le chanteur avoue "J’ai pensé à la personne qui m’a le plus manqué et je suis tombé dans un trou noir". Il avoue également avoir recommencé à fumer dans l’hôpital et avoir refusé l’aide d’un psy pour l’aider à surmonter l’épreuve.

Une peur qui lui glace le sang

Lorsqu’il rentre chez lui, une terrible dépression le gagne. "La peur de s’endormir et de ne plus se réveiller, cela me glace encore le sang, dit le chanteur. J’étais à genoux, une position de faiblesse inouïe. J’étais un homme plein de larmes et il suffisait que quelqu’un me dise ‘Comment vas-tu ?’, et je m’effondrais. Je ne me supportais plus. Je murmurais avec une voix de petite fille", raconte-t-il. La star poursuit en expliquant qu’il s’enfermait dans sa chambre pour essayer de parler normalement : "J’ai vraiment pensé que j’étais foutu".

Laeticia est la dernière femme de ma vie"

Les mots sont forts. Il rend un hommage appuyé à sa femme Laeticia : "Elle m’a sauvé. C’est la dernière femme de ma vie", confie le rockeur. Enfin, Johnny rassure, sa dépression s’éloigne : "Pour la première fois depuis des mois, j’ose regarder en avant. Je me sens renaître, je vais reprendre la route du vagabond du rock et montrer que je suis encore le boss", assure-t-il.
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Message  RONIQUE63 Dim 5 Sep 2010 - 22:03

Temoignage émouvant merci rebelle affraid
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Message  RONIQUE63 Dim 5 Sep 2010 - 22:14


EUROPE 1

"Johnny pensait qu’il allait mourir"

Par Europe1.fr avec Pierre-Louis Basse

Publié le 05 Septembre 2010 à 00h01 Mis à jour le 05 Septembre 2010 à 08h38

EXCLU - Daniel Rondeau raconte en exclusivité à Pierre-Louis Basse les confidences du chanteur.



"Je ne veux parler qu’à toi". Ce sont les mots de Johnny Hallyday à Daniel Rondeau. Le chanteur a décidé d'accorder sa première interview, depuis ses problèmes de santé en décembre, à l’ancien journaliste, aujourd’hui devenu ambassadeur de France à Malte. Daniel Rondeau raconte à Pierre-Louis Basse, en exclusivité pour Europe 1, son entretien avec la rock star, qui est à lire dans le Journal du Dimanche.

"Ne me secouez pas, je suis plein de larmes", la première partie de l’interview :

Daniel Rondeau a rencontré Johnny Hallyday à Saint Barth'. "Je me demandais naturellement dans quel état j’allais le trouver", révèle-t-il à Pierre-Louis Basse, avant d’ajouter : "Et quand je suis arrivé dans sa maison, il était en pleine séance de travail (…) pour un prochain album".



Johnny Hallyday a alors confié à l’ambassadeur ce qu’il a enduré durant plusieurs mois. "Il a vécu un cauchemar en arrivant à Los Angeles et puis cinq jours atroces de souffrance", assure Daniel Rondeau. Une fois hospitalisé, "la situation médicale ne s’arrangeait pas. Il a souffert énormément. On a décidé de le mettre dans le coma. Et la première nuit où il a perdu toutes connaissances, le médecin lui a dit qu’il avait appelé son père toute la nuit. Et Johnny m’a dit ‘c’est quand même curieux, puisque mon père m’a abandonné quand j’avais six mois’". Le chanteur a également confié à Daniel Rondeau avoir "vu des visages. (…) En gros, il pensait qu’il allait mourir".
"J’étais tellement aimé"

"Sa frayeur, elle est rétrospective", assure l’ami de la star. "C’est quand il est tiré du coma que, là, le médecin lui parle et, là, c’est la panique. Il s’aperçoit de ce qui lui est arrivé. Et on lui raconte aussi ce qui s’est passé en France et toute l’émotion. Il m’a dit d’ailleurs cette phrase : ‘je n’aurais jamais imaginé que j’étais tellement aimé’", poursuit Daniel Rondeau.

Mais le cauchemar est loin d’être terminé. Car, confie-t-il à l’ancien journaliste, "il s’arrange pour rentrer chez lui à Noël, mais contrairement à ce qu’il pensait, il se sent mal. Il traverse une phrase de dépression aigüe, d’autant plus qu’il a perdu sa voix. Il n’a plus de voix. Car il a été longtemps intubé : les cordes vocales ont été abimées. Il pense qu’il est réellement foutu. Quand il est tout seul, il essaye de parler normalement, de chanter, il n’y arrive pas. Il se demande ce qu’il va faire dans la vie. Il a l’impression qu’il a été détruit et qu’on a fait de lui un légume".

C’est à ce moment-là, qu’il va partir à Saint-Barth' avec sa femme et ses filles. Mais son moral ne va pas pour autant remonter. "Il est assailli par des angoisses très violentes. Il a peur de mourir. Il ne peut pas s’endormir. Il ne veut plus dormir parce qu’il pense qu’il ne va pas se réveiller", raconte Daniel Rondeau. Mais ce sont sa femme et ses deux filles, qui, petit à petit "vont le tirer jour après jour de l’ornière dans laquelle il est en train de s’enfoncer".
"Sa voix revient"

"Quand il rentre à Paris, quelques semaines avant son anniversaire, ça ne va toujours pas. Laetitia va décider d’organiser son anniversaire sur une péniche. Et là il se prépare tout seul. Il essaye de chanter et sa voix revient. Il arrive à chanter Gabrielle et Toute la musique que j’aime. Ce moment-là va effacer des mois de blessures.

"On m'a volé mes adieux", la seconde partie de l’interview :

Depuis son accident, Johnny Hallyday a, semble-t-il, changer sa façon de vivre. Ce n’est plus "l’accro à la cocaïne" que décrivait Daniel Rondeau dans les colonnes du Monde, il y a 15 ans. "Je crois que Johnny Hallyday vivant ne sera jamais raisonnable. Mais il m’a dit qu’il avait complètement arrêté et qu’il ne touchait plus à la drogue, il m’a dit : ‘tu sais je veux voir la suite du film, je veux savoir ce qui va m’arriver, je veux voir mes filles et je veux rechanter’. Il est très blessé par cette tournée d’adieux avortée. Il m’a dit : ‘On m’a volé mes adieux’. Il veut rechanter, remonter sur scène et il se prépare à ça".



Quant à son choix de changer de producteur, il est très simple, assure Daniel Rondeau. "Jean- Claude Camus - qui est son producteur depuis longtemps - a vendu son affaire, m'a-t-il confié. Il s’est souvent disputé avec Jean-Claude Camus, mais il m’a dit : ‘J’avais toujours un fond de tendresse pour lui, parce qu’il y avait chez lui une part de folie. Et ça lui permettait de me comprendre. Son successeur, c’est un businessman, d’où une absence de folie. Je ne peux pas m’entendre avec lui, je change’".

Aujourd'hui, Johnny Hallyday n'a véritablement pas retrouvé la paix. "Il ne peut plus s’endormir de façon naturelle. Il a peur de la mort. C'est une grosse angoisse", confie Daniel Rondeau à Pierre-Louis Basse. Pour autant, assure-t-il, "il est extrêmement décidé. Il veut retravailler en France. Il va tourner deux films, jouer au théâtre et puis, dès qu’il aura fini tout ça, il veut reprendre cette tournée qui a été interrompue. Je l’ai vu extrêmement décidé. Il m’a dit : 'Je vais montrer que je suis encore le boss'".



Voici un article du Journal du Dimanche

Johnny: La confession d'outre-tombe

Après de longs mois d’abstinence médiatique, Johnny Hallyday parle enfin. Dans un document exceptionnel que publie ce dimanche le JDD, le rocker se confie sans tabou au romancier et diplomate, Daniel Rondeau. Il revient notamment sur ses déboires de santé, ses douleurs et ses doutes. Mais la star, désireuse de tourner cette page sombre de son existence, parle aussi d’avenir. Le cinéma et le théâtre font partie de ses projets, mais surtout la musique, bien sûr, avec un nouvel album en préparation et une volonté farouche de retrouver son public sur scène dès 2012. Extraits de cette confession à la première personne du singulier dont l'intégralité est à découvrir dans Le Journal du Dimanche .


Un miracle
Il faut bien admettre que c’est assez miraculeux que je sois là. Nous sommes à Saint-Barth, avec Laeticia et nos deux filles, je recommence à travailler, j’assiste même à un ouragan tropical, mon premier ouragan, mais je reviens de loin. (…)

Cette fausse sortie, je ne l’accepte pas, je n’ai pas dit mon dernier mot. (…) Je suis tombé dans un gouffre et je suis en train d’en sortir, non sans peine. Je suis très fragile, et je suis très fort, ce n’est pas nouveau, mais maintenant tout prend une dimension supplémentaire. Je peux mourir, ou je peux vivre, ça dépend comme on m’aime.

La tournée
Cette tournée, elle avait pourtant bien commencé. Mais à partir du mois d’octobre, j’ai eu à nouveau des problèmes de dos. Mes douleurs ont commencé à devenir terribles. Il y avait des jours où je ne pouvais plus marcher, j’en aurais pleuré tellement j’avais mal, mais je ne voulais pas annuler, alors je me faisais piquer à la cortisone, j’avalais des anti-inflammatoires, des doses de cheval. Et j’ai chanté, même si cette douleur m’angoissait et pourrissait mes journées. (…) La tournée était longue, elle a quand même duré six mois. Quand je me réveillais le matin, je me demandais si j’allais pouvoir continuer. Il ne faut pas oublier que j’avais été opéré d’un cancer du côlon pendant l’été.

Le coma
Mon dernier souvenir, avant de perdre connaissance, puis d’être plongé dans le coma, ce sont des visages. J’ai vu apparaître puis s’éloigner les visages de Gilles Paquet, de Ticky Holgado et de Carlos, mes amis morts. Et celui de Laeticia. Ceux qui me demandaient de les rejoindre, et celle qui me retenait. Et puis je suis tombé dans un trou noir.

La dépression
Je suis revenu lentement à la vie, et j’ai fait du charme aux docteurs pour pouvoir passer Noël à la maison, à Los Angeles, avec mes filles qui avaient été interdites de visite à l’hôpital et qui me manquaient. Ça a marché.

(…) Jean Reno vient passer les fêtes avec nous. A ce moment-là, tout le monde pense que je vais mieux. Non, je vais mal, car j’ai beaucoup de difficultés à retrouver ma place dans la vie.(…)

Le pire, c’était que j’avais perdu ma voix. J’ai été longtemps intubé à la clinique, et mes cordes vocales avaient été abîmées. Je murmurais, avec une voix de petite fille ou de fausset. Un cauchemar. (…) J’ai vraiment pensé que j’étais foutu.

La vérité, c’est que je traversais une phase de dépression terrible. Le 25 avril, nous sommes retournés à Los Angeles pour un nouveau check-up, qui était bon. Mes angoisses non seulement ne cessaient pas, mais je commençais à avoir peur du retour à Paris. (…) Je suis assailli par de violentes angoisses que je n’arrive à évacuer que par une hyper-agressivité.

Laeticia
Laeticia tente de me rassurer. Elle m’a sauvé deux fois. Au moment du désastre, après l’opération de ma hernie discale, (…) et au moment de ce nouveau désastre, moral et psychologique, en continuant de me soutenir, malgré moi. C’est elle qui a organisé mon anniversaire au mois du juin, sur une péniche. Ce soir-là, j’ai chanté. Gabrielle, La musique que j’aime. C’était le test pour moi. Ma voix est sortie. Ce moment a effacé des mois d’ombre et de blessures, même si je sais qu’il y a des cicatrices qui ne s’effaceront jamais.

L'avenir
J’ai arrêté la drogue, je veux voir la suite. Pour la première fois depuis des mois, j’ose regarder en avant. J’ai commencé à travailler avec Matthieu Chedid. Sincèrement, depuis qu’il est ici et que nous travaillons, je me sens renaître. Ma voix est là, l’énergie remonte.
(…) Tout est déjà assez bien calé. On enregistrera en septembre, à Los Angeles

Jean-Claude Camus
Je m’arrange pour repartir d’un pas neuf. Nouvelle vie, nouveaux projets, nouveaux rêves, nouveau producteur. Je quitte Jean-Claude Camus pour Gilbert Coullier. Camus est à moitié en retraite. Il a vendu son affaire et ce n’est plus lui qui s’en occupe. Je lui garde une certaine tendresse, il y avait une part de folie qui lui permettait de me comprendre, son successeur est uniquement un businessman. Nous ne sommes pas faits l’un pour l’autre.

Cinéma, théâtre, scène
J’ai (…) des projets de cinéma. (…) Je vais jouer au théâtre une pièce de Tennessee Williams, jamais donnée en France, qui sera mise en scène par Bernard Murat.
Tous ces projets m’ont aidé à me redresser. Je repense aussi à la scène. J’avais décidé de faire mes adieux, et on m’a volé ces adieux. (…) Je ne savais pas que j’étais autant aimé. Cet amour me crée des obligations.

Retrouvez l'intégralité de la confession de Johnny à 12h sur le JDD.fr
http://www.lejdd.fr/Culture/Musique/Actualite/Johnny-La-confession-d-outre-tombe-218282/

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Message  le rebelle Lun 6 Sep 2010 - 7:15

merci pour la suite cheers Sous morphine, Johnny délirait : "Papa viens me chercher" 65512
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