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Les disques rares de Johnny Hallyday au Japon
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Les disques rares de Johnny Hallyday au Japon
Suite 101.fr : Daniel Lesueur :
Les disques de Johnny sont sortis à peu près dans le monde entier. A part dans les pays anglo-saxons où il recueillit peu de succès, on peut considérer qu’il est une idole internationale. Et particulièrement au Japon où, hélas, ses disques sont devenus rarissimes. Les trouver est déjà un chemin de croix. Ne parlons pas… ou plutôt, si ! Parlons des sommes monumentales qu’atteignent les pressages nippons. «L’Argus Hallyday 2011» qui sort ces jours-ci chez Camion Blanc vient mettre bon ordre dans une discographie foisonnante.
La discographie japonaise de Johnny Hallyday
Les pochettes sont le plus souvent écrites en caractères japonais... mais ce n’est pas un problème, on achète les éditions japonaises pour leur rareté, pas pour les écouter ; d’ailleurs, sur tous les vinyles japonais de Johnny (environ 70), un seul est chanté en japonais, et ce n’est pas le plus cher : Que je t’aime en japonais, enregistré à Paris en mai 1973 avec, en face B, Le Pénitencier sous référence Philips SFL 1788, s’est stabilisé à 500 € (l’édition de promotion hors-commerce vaut 600 €). C’est loin d’être le plus coté.
Exorbitant !
Exorbitant mais justifié : les disques japonais les plus chers de Johnny sont aussi les plus anciens puisqu’ils datent de 1961. Il s’agit d’un album intitulé “Hello Johnny” (format 25cm, référence Polydor LPP 1114) et d’un autre, “Avec ses fans” (format 25cm, référence Polydor LPP 1115). Sans connaître le mois exact de parution, on peut déduire, d’après leurs références, qu’ils sont sortis coup sur coup, voire le même jour. Il se négocient chacun aux environs de 3 000 €.
Particularité des albums 30cm
Au Japon, tous les 33 tours 30cm en édition commerciale sont munis d'un "OBI" (bande de papier faisant le tour de la pochette). S’il manque l’OBI, le disque vaut un peu moins. Le Japon est le seul pays à avoir utilisé cette pratique dont on ignore l’intérêt. En France, en contrepartie, les disques étaient munis d’une petite languette détachable dont, là, on connaît le but : une fois le disque vendu, le disquaire enlevait la petite languette pour savoir ce qu’il avait vendu et éventuellement le redemander auprès du grossiste.
Loin derrière… mais quand même pas donné!
Après les deux albums au format 25cm déjà cités et cotés 3 000€ vient, après un saut de trois ans dans le temps, l’album de 1964 : “D’où viens-tu, Johnny ?” coté 1 000 €. A nouveau sa cote est justifiée : c’est un disque particulièrement intéressant dans la mesure où il s’agit d’un 30cm, donc d’un format supérieur au 25cm français et agrémenté de 6 titres de plus que l’édition que nous connaissons.
L’année suivante (1965) sort “L’idole des jeunes”, une intéressante compilation (Philips SFL 7264) estimée à 1 000 €… qu’il ne faut pas confondre avec l’album de 1963 :“L’Idole” (référence Vogue UPS 5053) qui vaut beaucoup moins (250 €).
Faites les comptes!
Deux à 3 000€ et deux à 1 000€… nous sommes déjà à 8 000€ pour seulement quatre disques. Heureusement, par la suite, ça s’arrange… même si plusieurs vinyles naviguent entre 300 et 500€. En toute logique, il s’agira des plus anciens (1961) mais aussi de certaines parutions moins anciennes qui, a priori, n’ont pas particulièrement de raison d’être aussi recherchées.
Les pièces intermédiaires
Dans cette fourchette 300 / 500€ on trouve donc les premiers 45 tours de 1961, notamment Souvenirs souvenirs dont il existe deux éditions, l’une sur le label Vogue, l’autre sur le label Polydor ; la première vaut 300€, la seconde 350€. Ca se tient ! Les autres sont Hey Pony à 300 € et Depuis qu’ma môme à 450 €.
Une addition difficile à digérer
Pour peu qu’il ait pu trouver les disques qui excitaient sa convoitise, le collectionneur, en une dizaine de disques vinyle, aura dépensé 10 000 €… et il lui en manque encore 60 pour avoir l’intégralité ; il pourra penser légitimement que, pour une telle somme, il aurait pu se payer un aller-retour au Japon (le site voyagermoinscher.com expose des prix comparatifs, d’environ 1 000€ avec le Club Med jusqu’à 3 000 € avec Promovacances et jusqu’à 3 800€ via Kuoni). Pas mal raisonné… à condition d’avoir déjà des contacts sur place car, sans adresse précise, inutile de rêver trouver des vinyles du siècle passé dans la première boutique venue.
Les disques de Johnny sont sortis à peu près dans le monde entier. A part dans les pays anglo-saxons où il recueillit peu de succès, on peut considérer qu’il est une idole internationale. Et particulièrement au Japon où, hélas, ses disques sont devenus rarissimes. Les trouver est déjà un chemin de croix. Ne parlons pas… ou plutôt, si ! Parlons des sommes monumentales qu’atteignent les pressages nippons. «L’Argus Hallyday 2011» qui sort ces jours-ci chez Camion Blanc vient mettre bon ordre dans une discographie foisonnante.
La discographie japonaise de Johnny Hallyday
Les pochettes sont le plus souvent écrites en caractères japonais... mais ce n’est pas un problème, on achète les éditions japonaises pour leur rareté, pas pour les écouter ; d’ailleurs, sur tous les vinyles japonais de Johnny (environ 70), un seul est chanté en japonais, et ce n’est pas le plus cher : Que je t’aime en japonais, enregistré à Paris en mai 1973 avec, en face B, Le Pénitencier sous référence Philips SFL 1788, s’est stabilisé à 500 € (l’édition de promotion hors-commerce vaut 600 €). C’est loin d’être le plus coté.
Exorbitant !
Exorbitant mais justifié : les disques japonais les plus chers de Johnny sont aussi les plus anciens puisqu’ils datent de 1961. Il s’agit d’un album intitulé “Hello Johnny” (format 25cm, référence Polydor LPP 1114) et d’un autre, “Avec ses fans” (format 25cm, référence Polydor LPP 1115). Sans connaître le mois exact de parution, on peut déduire, d’après leurs références, qu’ils sont sortis coup sur coup, voire le même jour. Il se négocient chacun aux environs de 3 000 €.
Particularité des albums 30cm
Au Japon, tous les 33 tours 30cm en édition commerciale sont munis d'un "OBI" (bande de papier faisant le tour de la pochette). S’il manque l’OBI, le disque vaut un peu moins. Le Japon est le seul pays à avoir utilisé cette pratique dont on ignore l’intérêt. En France, en contrepartie, les disques étaient munis d’une petite languette détachable dont, là, on connaît le but : une fois le disque vendu, le disquaire enlevait la petite languette pour savoir ce qu’il avait vendu et éventuellement le redemander auprès du grossiste.
Loin derrière… mais quand même pas donné!
Après les deux albums au format 25cm déjà cités et cotés 3 000€ vient, après un saut de trois ans dans le temps, l’album de 1964 : “D’où viens-tu, Johnny ?” coté 1 000 €. A nouveau sa cote est justifiée : c’est un disque particulièrement intéressant dans la mesure où il s’agit d’un 30cm, donc d’un format supérieur au 25cm français et agrémenté de 6 titres de plus que l’édition que nous connaissons.
L’année suivante (1965) sort “L’idole des jeunes”, une intéressante compilation (Philips SFL 7264) estimée à 1 000 €… qu’il ne faut pas confondre avec l’album de 1963 :“L’Idole” (référence Vogue UPS 5053) qui vaut beaucoup moins (250 €).
Faites les comptes!
Deux à 3 000€ et deux à 1 000€… nous sommes déjà à 8 000€ pour seulement quatre disques. Heureusement, par la suite, ça s’arrange… même si plusieurs vinyles naviguent entre 300 et 500€. En toute logique, il s’agira des plus anciens (1961) mais aussi de certaines parutions moins anciennes qui, a priori, n’ont pas particulièrement de raison d’être aussi recherchées.
Les pièces intermédiaires
Dans cette fourchette 300 / 500€ on trouve donc les premiers 45 tours de 1961, notamment Souvenirs souvenirs dont il existe deux éditions, l’une sur le label Vogue, l’autre sur le label Polydor ; la première vaut 300€, la seconde 350€. Ca se tient ! Les autres sont Hey Pony à 300 € et Depuis qu’ma môme à 450 €.
Une addition difficile à digérer
Pour peu qu’il ait pu trouver les disques qui excitaient sa convoitise, le collectionneur, en une dizaine de disques vinyle, aura dépensé 10 000 €… et il lui en manque encore 60 pour avoir l’intégralité ; il pourra penser légitimement que, pour une telle somme, il aurait pu se payer un aller-retour au Japon (le site voyagermoinscher.com expose des prix comparatifs, d’environ 1 000€ avec le Club Med jusqu’à 3 000 € avec Promovacances et jusqu’à 3 800€ via Kuoni). Pas mal raisonné… à condition d’avoir déjà des contacts sur place car, sans adresse précise, inutile de rêver trouver des vinyles du siècle passé dans la première boutique venue.
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