Jean-Claude Camus s'attaque à Laeticia Hallyday

Jean-Claude Camus revient sur sa rupture amicale et artistique avec le rockeur français, Johnny Hallyday et accuse son épouse de le pousser à récolter de plus en plus d'argent.















Quelques mois après avoir arrêté sa collaboration avec la star française, Jean-Claude Camus s'exprime enfin dans les pages du magazine Gala. "Je n'ai pas été viré, c'est moi qui ai jeté l'éponge", confie celui qui a partagé la vie artistique de Johnny pendant plus de trente ans.

Pour l'ancien producteur de la star du rock, Johnny Hallyday avait la folie des grandeurs. Mais malgré les fortunes qu'il gagnait, cela ne lui suffisait pas à payer son train de vie sans cesse grandissant. "En août dernier, par appât du gain, il m'a quitté, car je ne voulais pas m'aligner sur la somme très alléchante, 12 millions d'euros, qu'on venait de lui proposer pour une tournée en 2012", affirme-t-il.

Et Camus d'aller beaucoup plus loin en s'en prenant à l'épouse du chanteur qu'il accuse d'avoir pris les commandes financières. "Ce qui me gêne le plus, c'est le champ de ruines qui s'établit autour de lui", dit-il en évoquant Laeticia qu'il surnomme "Madame manage tout". "L'amour rend aveugle ", ajoute-t-il. "Moi, je dis : Johnny, réveille-toi".

L'ancien producteur de la star n'est pas le premier à critiquer madame Hallyday de la sorte. Il y a quelques jours, Johnny avait d'ailleurs écrit une lettre ouverte sur son site officiel pour défendre sa chère et tendre.

c'est sure que c est bizarre tout ça..mais bon pourvu qu elle nous laisse le vrai johnny !!

Voici.fr de ce matin..

Pendant trente-cinq ans, il a promené Johnny Hallyday sur toutes les scènes de France et de Navarre, au point d’être parfois accusé d’être un poil despotique avec son poulain. Aujourd’hui, Jean-Claude Camus poursuit sa carrière aux côtés d’autres artistes, comme Christophe Maé, Sinclair, Isabelle Mergault et Pierre Palmade pour leur pièce de théâtre, L’amour sur un plateau, mais sans Johnny Hallyday.

D’ailleurs, il remet les pendules à l’heure dans Gala : « Il faut que ce soit dit clairement : je n’ai pas été viré. C’est moi qui ai jeté l’éponge. » Il ajoute « Johnny est une star nationale qui a le train de vie d’une vedette internationale, cela crée des besoins. En août dernier, par appât du gain, il m’a quitté car je ne voulais pas m’aligner sur la somme très alléchante, 12 millions d’euros » proposés par Gilbert Coulier (bon, c’est lui qui a tout plaqué ou Johnny qui l’a quitté ? Faudrait savoir ! NDLR).

Reste à comprendre comment l’idole des jeunes gère sa nouvelle vie, que Jean-Claude Camus définit comme « un champ de ruines qui s’établit autour de lui. » La responsable de cette catastrophe, selon lui ? Laeticia. Apparemment, il semble que l’emprise de madame, démentie par Jojo la semaine dernière dans un courrier à ses fans, passe mal.

Concernant « le staff qui a été remercié », Camus est sans détour : il l’a été « sur de mauvais prétextes. Par exemple, Daniel Angeli, le photographe officiel du couple Hallyday, a été congédié car de "mauvaises photos" seraient parues ! Or, aucun cliché officiel n’est diffusé dans la presse sans que Laeticia ne l’ai choisi, c’est une évidence, Madame manage tout ».

Jean-Claude Camus persifle alors avec un très dur « L’amour rend aveugle. Tous ceux qui avaient la confiance de Johnny ont sauté. Moi, je dis – Johnny, réveille toi ! ».

Nous passerons sur les très hypocrites petits mots du genre « Je l’aimerai toujours » malgré tout et bla bla bla. Néanmoins, le regard que porte Camus sur Johnny Hallyday, qu’il avait réussi à faire passer d’ultra ringard des années 90, notamment grâce aux Guignols, à véritable demi-dieu de la musique, est plus qu’acide.

La déception, sans doute.