Adeline va attaquer Johnny

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Johnny Hallyday contre Adeline Blondieau, acte II. La comédienne riposte après les propos tenus par le chanteur dans sa biographie. Elle compte saisir la justice.

Forcément, elle n’allait pas rester sans réaction : Adeline Blondieau a annoncé ce matin qu’elle comptait poursuivre son ex-mari Johnny Hallyday en diffamation. Il faut dire que ce dernier n’y est pas allé de main morte au moment d’évoquer Adeline dans sa biographie Dans mes yeux.

Selon le rockeur, l’actrice était « une hystérique » qui « jetait les chaises par la fenêtre à la moindre contrariété. » Plus grave, il l’accuse d’avoir du temps de leur union été « un serpent qui (le) cocufiait tout le temps, (le) trompait avec tous les petits mecs de Saint-Tropez » tout en « jouant les saintes nitouches. »

La charge est rude et Adeline ne l’a pas digérée du tout. Invitée ce matin à un face à face avec des lecteurs de Nice Matin dans le cadre de la promo de sa série Sous le soleil de Saint-Tropez, la comédienne a annoncé son intention de saisir la justice : « Je suis mère de famille et il est hors de question qu’on puisse porter atteinte à mon image et à ma réputation. Je répondrai par la voie légale, par mon avocat. C’est à dire que je vais l’attaquer en diffamation tout simplement. »

Adeline qui s’estime « harcelée par les journalistes » depuis que l’Express a sorti des extraits de la bio de Johnny dit ne pas comprendre pourquoi ce dernier tient « de tels propos » alors qu’elle-même est « en pleine promo. » (sic). Avouant « ne pas suivre l’actualité de Johnny », l’ex-candidate de La ferme célébrités en Afrique conclut : « La seule chose que je peux dire, c’est que ça me met en colère. » On l’avait compris.


Gala.fr:



Sévèrement taclée par Johnny Hallyday dans son livre-confession, Adeline Blondieau a réagi dans les colonnes de Nice Matin. Celle qui a partagé la vie du rocker entre 1990 et 1995 annonce qu’elle va l’attaquer pour diffamation.

"Harcelée par les journalistes" depuis la publication dans l'Express des bonnes feuilles du livre Dans mes yeux, Adeline Blondieau a mis les choses aux points dans le quotidien Nice Matin.

"Je répondrai par la voie légale, via mon avocat, a assuré l’actrice. C'est-à-dire que je vais l'attaquer (Johnny, NDLR) en diffamation, tout simplement. Je suis mère de famille et il est hors de question qu'on puisse porter atteinte à mon image et à ma réputation."

Adeline qui a également confié avoir acheté deux exemplaires du livre en arrivant à l'aéroport de Nice ce jeudi matin ("un pour mon avocat et un pour moi"), est remontée. "La seule chose que je peux dire, c'est que ça me met en colère", admet-t-elle, précisant au passage qu’elle "ne suit pas vraiment l'actualité de Johnny."

Rappelons que dans la biographie que lui a consacrée Amanda Sthers, Johnny n’avait pas épargné son ex-femme. Pêle-mêle, il parle d’une Adeline "hystérique" qui "balançait les chaises par la fenêtre à la moindre contrariété". Il va même jusqu’à lancer: «(Adeline était) Un serpent qui me cocufiait tout le temps, me trompait avec tous les petits mecs de Saint-Tropez et jouait les saintes-nitouches".

Reste que depuis sa sortie, Dans mes yeux est plus jamais dans l'oeil du cyclone...

elle lui a pas pomper assez de fric, (d'ailleur ces tous se qu'elle lui a pomper )

Voici.fr

Tu touches à un Blondieau ? Une deuxième débarque. Aujourd’hui, Alexandre, le frère d’Adeline Blondieau, a annoncé qu’il allait mettre son expertise juridique au service de sa sœur suite aux attaques de Johnny Hallyday.

Fallait pas toucher à sa frangine ! Le frère d’Adeline Blondieau compte bien se battre à ses côtés pour laver l’affront qui lui a été fait. Comme il est accessoirement avocat, ça tombe plutôt pas mal.

Il était invité ce matin à s’exprimer sur les ondes d’ RTL sur les propos tenus par Johnny Hallyday au sujet d’Adeline dans son autobiographie Dans mes yeux.

« Elle a du mal à admettre qu’on raconte des mensonges sur elle, sur son compte, qu’on porte atteinte à son honneur, sa réputation, a-t-il expliqué. Elle n’a jamais voulu laver son linge sale en public. Il se trouve que là, Monsieur Hallyday donne ses vérités au grand public, ce qui est assez incompréhensible puisque on pourrait l’imaginer serein et n’ayant pas besoin de ça. Ma sœur veut simplement que les gens sachent la vérité puisque Monsieur Hallyday met ça sur la place publique. Donc elle va exercer d’une part un droit de réponse, et d’autre part, elle va agir en diffamation. Ce sont des attaques gratuites. C’est très dur à comprendre la démarche de Monsieur Hallyday. C’est une sorte de volonté de nuire qu'on ne s’explique pas. Ma sœur a toujours été très conciliante et n’a jamais voulu agir contre lui. Il déterre la hache de guerre sans raison et ma sœur ne va pas se laisser faire, évidemment. »

Johnny, en voulant faire un peu de ménage, a pris le risque de voir les cadavres sortir des placards.

Adeline Blondieau contre Johnny Hallyday : Sa lettre ouverte à Amanda Sthers :

Chère Madame,

Jamais je n'aurais cru devoir un jour vous écrire publiquement pour parler littérature. Mais les circonstances en ont décidé autrement. Vous vous faites, aujourd'hui, d'une plume assez gracieuse d'ailleurs, la porte-parole des "souvenirs" de Johnny. Vous me donnez dans cet ouvrage une place particulière, tant par la violence des passages qui me sont consacrés que par l'espace que j'y occupe, presque deux pages édifiantes. Quant à ma place dans vos bonnes feuilles, j'y fais à mes yeux figure d'intrus parmi de grandes personnalités... C'est beaucoup d'importance finalement. Mais ces mots, "ses mots" sont-ils la vérité? Vous n'en avez manifestement cure. "Qu'importe", écrivez-vous d'ailleurs dans la préface de cet ouvrage. Qu'importe? Avez-vous mesuré, Madame, en écrivant, la violence de la description que vous vous permettez de faire de moi? Avez-vous réfléchi au mal qu'ils pouvaient nous faire, à mes enfants, ma famille et à moi-même?

Je reprends vos mots: "elle débarquait chaque nuit pour jouer avec le feu que j'étais". Savez-vous, Madame, que vous évoquez ici une adolescente de quatorze ans, qui naïvement avait pris pour un amour fou, un amour extraordinaire, le jeu d'un adulte de quarante-trois ans. Vous êtes-vous demandé qui de lui ou de moi rejoignait l'autre dans le silence de la nuit quand l'alcool avait fait son effet? Ce n'était pas moi. A quatorze ans, encore vierge, je ne représentais à mon avis pas un grand danger pour un homme ayant vécu sa vie. Dès cette époque, il me parlait de notre amour fou et c'est parce qu'il ne pouvait en être autrement que quelques années plus tard, l'été de mes dix-huit ans, j'ai accepté sa demande en mariage. J'ai aimé cet homme plus que tout, au point de croire que je le sortirai du démon de la boisson. Naïve, oui vraiment! Qui des deux, entre une star du rock telle que lui et une jeune bachelière qui se préparait à entrer à la Sorbonne, devrait-on prendre pour le plus manipulateur? C'est à la fois prêter une bien grande maturité à la jeune fille amoureuse que j'étais et un talent pour la manipulation que je ne pense pas avoir confirmé par la suite.

Pourtant je reste persuadée encore aujourd'hui qu'il y a eu un amour réciproque, même si hors norme certainement. On n'épouse pas deux fois "un serpent"... Depuis mon second divorce d'avec Johnny, je me suis reconstruite. J'ai cicatrisé. J'ai mené une vie qui n'a pas fait trop de vagues. Je ne suis pas une habituée des scandales et préfère la discrétion. Je crois n'avoir jamais manqué de respect à mon ex-mari, ces histoires-là, à mon goût, ne regardaient que nous.

Je sais, Madame, que vous écrivez aussi pour les enfants, vous leur avez consacré quelques ouvrages, traitant notamment des peines et douleurs comme la séparation des parents. Je sais, pour les avoir lus, que vous avez écrit ces textes en pensant à vos propres enfants. En écrirez-vous un, Madame, pour consoler les miens du mal que peut leur faire une telle salissure? C'est donc à l'auteure, à la femme et à la mère de famille que je m'adresse ici.

A l'auteure, parce que, à l'inverse du roman, les mémoires ne peuvent se permettre la désinvolture et l'approximation, surtout quand il s'agit de choses aussi graves. A la femme, car je crois savoir que l'adultère et la perversion ne sont pas des sujets qui vous font rire et qu'entre femmes, ou ex-femmes de personnes publiques, nous pouvions nous attendre à un peu plus de solidarité. A la mère enfin, car je ne peux croire qu'une mère ne soit pas sensible à la peine d'un enfant. Sachez, Madame, que les miens auront toujours du mal à subir un tel acharnement. Si comme le mien, vos fils rentraient un jour de l'école en vous disant qu'on les a traités de fils de pute, qu'on les a menacés et qu'ils ont peur d'y retourner, comment le vivriez-vous ? Pour ma part, je le vis mal. Comment expliquer à mon fils qu'il faut serrer les dents et attendre que cela passe ? Et que dirais-je à ma petite fille quand elle sera en âge de comprendre? Qu'on a finalement le droit de bafouer l'honneur d'une mère sans se soucier des répercussions que cela aura sur ses enfants?

Alors je leur dirai qu'il y a des rencontres merveilleuses et d'autres qui vous laissent un goût amer pour la vie. Je leur dirai encore qu'il faut se méfier des gens et que certaines malveillances sont tenaces et destructrices. Je leur dirai enfin que parfois les gens se réinventent leur histoire pour avoir le bon rôle.

La notoriété donne un immense pouvoir (de nuisance en l'occurrence). Elle donne aussi des responsabilités. On ne peut impunément ignorer l'impact de tels propos (les insultes des fans qui prennent tous ses mots pour parole d'évangile, le regard de tous ces Français dont il est à jamais l'idole) et laisser ensuite les gens se débrouiller avec les conséquences de sa propre inconséquence.

purepeople.com

préfère me taire

Adeline Blondieau remporte une première victoire face à Johnny
La justice lui donne raison

Publié le jeudi 28 mars 2013 à 10:03 par P.S.B.

Adeline Blondieau avait promis qu’elle ne se laisserait pas traîner dans la boue. Elle vient aujourd’hui de remporter une manche dans la bataille qui l’oppose à son ex-mari, Johnny Hallyday.

Elle n’avait pas du tout apprécié « l’hommage » de son ex-mari à leurs quatre années de mariage. Adeline Blondieau avait découvert en même temps que le public le traitement que Johnny Hallyday avait choisi de lui réserver dans son autobiographie Dans Mes Yeux.

L’actrice y était décrite par la co-auteure Amanda Sthers comme « hystérique » et comparée à un serpent qui trompait Johnny avec « tous les petits mecs de Saint-Tropez. »

Après avoir défendu son honneur dans une lettre ouverte à Amanda Sthers, Adeline avait promis par la voix de son frère, avocat, une riposte judiciaire musclée. « C’est très dur à comprendre, la démarche de Monsieur Hallyday, avait confié ce dernier à RTL. C’est une sorte de volonté de nuire qu'on ne s’explique pas. Ma sœur a toujours été très conciliante et n’a jamais voulu agir contre lui. Il déterre la hache de guerre sans raison et ma sœur ne va pas se laisser faire, évidemment. »

Et quand le clan Blondieau décide de réagir, il ne fait pas semblant… On vient de l’apprendre, Adeline a déjà remporté une première manche contre son ex-mari : la semaine dernière, le tribunal des référés de Paris a condamné Plon, l’éditeur du livre, à verser un euro de dommages et intérêts à Adeline pour « diffamation et atteinte à la vie privée », sans toutefois obtenir la suppression des passages la concernant selon RTL.

Plus remontée que jamais, la comédienne compte désormais traîner directement Johnny ainsi qu’Amanda Sthers devant les tribunaux pour diffamation. Une plainte va être déposée dans les jours qui viennent en ce sens, toujours selon la radio. Maître Alexandre Blondieau compte demander des dizaines de milliers d’euros de dommages et intérêts.

Dans sa bio, Johnny estimait qu’Adeline était « avide d’argent ». Attention Adeline, à ne pas donner raison à Johnny. Sinon ça va être chaud pour plaider la diffamation.