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"JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
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"JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Et c'est parti 1ere date c'était hier le 24 avril à Los angeles..
Avec la set list publiée par sa femme sur tweeter..
Avec la set list publiée par sa femme sur tweeter..
Allumer le feu
Né dans la rue
Excuse-moi partenaire
Deux étrangers
Rock 'n' roll attitude
Ma gueule
Requiem pour un fou
Tennessee
Fils de personne
I who have nothing
Gabrielle
High-heel sneakers
J'la croise tous les matins
Hey Joe
L'idole des jeunes
Joue pas de rock 'n' roll pour moi
I'm gonna sit right down and cry (over you)
Elle est terrible
Cours plus vite Charlie
Que je t'aime
Ma jolie Sarah
Dégage
L'envie
Lawdy miss Clawdy
Toute la musique que j'aime
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Dernière édition par RONIQUE63 le Dim 30 Déc 2012 - 10:31, édité 1 fois
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
on va tout suivre la..vivement montpellier ..dans pas longtemps..
STEVEN- fan V.I.P
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Oui le 15 mai steven ..
LUCKY- fan V.I.P
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Johnny Hallyday lance sa tournée 2012 en fanfare à Los Angeles
(AFP) – il y a 1 heure
LOS ANGELES — Johnny Hallyday a "allumé le feu" mardi soir au Theâtre Orpheum de Los Angeles devant un public de Français conquis, lancement en fanfare de sa tournée 2012, qui marque ses retrouvailles avec le public deux ans après ses graves problèmes de santé
"C'est formidable de me retrouver ici ce soir avec vous, dans cette ville où ma vie a failli s'arrêter et où ce soir ma vie recommence", a déclaré la star après avoir chauffé la salle avec plusieurs de ses classiques, d'"Allumer le feu" à "Rock'n roll attitude". "Et pour ça, je tenais à vous dire: je vous aime", a-t-il ajouté devant un public composé en grande majorité de Français.
En décembre 2009, Johnny avait dû être hospitalisé en urgence à Los Angeles à la suite de complications consécutives à l'opération d'une hernie discale.
Le "taulier" est apparu sur la scène de l'Orpheum -- un superbe théâtre historique de 2.000 places, rempli mardi soir aux trois-quarts -- sous la forme d'une immense ombre chinoise au centre d'un cercle lumineux.
Le spectacle de deux heures, à la couleur résolument rock et blues, a fait la part belle aux tubes de l'artiste, qui a notamment interprété "Qu'est-ce qu'elle a ma gueule?", "Quelque chose de Tennessee", "Gabrielle", "L'idole des jeunes", "Que je t'aime" ou "L'Envie".
Visiblement ravi de retrouver la scène et ses fans -- "je suis drôlement content d'être avec vous ce soir", a-t-il déclaré en ouverture du spectacle --, Johnny Hallyday, 68 ans, a fait preuve d'une belle santé, enchaînant les deux heures de concert sans pause et paraissant de plus en plus à l'aise physiquement et vocalement, à mesure qu'il enchaînait les titres.
S'il était parfois un peu fâché avec la justesse, le grand fauve a s'est globalement montré d'une santé vocale insolente, rugissant comme il se doit dans "Qu'est-ce qu'elle a ma gueule" et "Que je t'aime".
Dans la salle, étaient notamment présents sa femme Laeticia et ses filles Jade et Joy, ainsi que Vanessa Paradis, le cinéaste Mathieu Kassovitz, la chanteuse Hélène Segara, et l'acteur et réalisateur Mathieu Demy.
La 181e tournée du chanteur comptera plus de 50 dates, en France mais aussi en Russie, en Israël et en Grande-Bretagne.
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Le matin..Par Didier Dana, Los Angeles
Johnny Hallyday: retour gagnant!
Los Angeles
—
Le concert du rocker français a tenu toutes ses promesses hier soir à l’Orpheum Theater. Il va s’attaquer aux stades avec des effets spéciaux impressionnants. Reportage.
«Est-ce que c’est l’Elvis Français?» nous demande sur le trottoir, sous la marquise de l’Orpheum Theater, un Noir américain corpulent. Il est 19h45 à Los Angeles, mardi, et à entendre parler dans la langue de Molière les dizaines de spectateurs sagement alignés devant le vieux théâtre années quarante, Johnny Hallyday est de retour. Le poids des ans sur le dos mais une envie totalement intacte chevillée au cœur et au corps. A l’image de la salle qui l’accueillait, à la fois chic, old fashion et totalement rénovée, le chanteur est apparu rajeuni, tout de noir vêtu façon Gene Vincent, en voyou chic dans un costume signé Sarah Burton, pour balancer pendant deux heures, un répertoire remis au goût du jour par le guitariste et arrangeur Yarol Poupaud.
Lorsqu’on devine l’ombre géante du chanteur, derrière le rideau blanc, il est 20 h 25. C’est un tonnerre d’applaudissements qui accueille le Français sous les lustres et les lambris. Résonnent alors, après un petit film rétrospectif sur sa vie sa carrière, ses accidents, tentatives de suicide et autre mésaventures narrés par Line Renaud, les premiers accords d’«Allumer le feu» et ces paroles qui résument toute la soirée: «Sortir le loup de sa cage».
D’ici quelques semaines, le loup entrera sur scène de façon fracassante. «Le Matin» est en mesure de confirmer en exclusivité ce que Johnny révélait en janvier dans nos colonnes. L’ouverture du show, dans les stades, se fera dans une boule de métal et de feu qui va fracasser un mur de prison!
Des effets spéciaux à découvrir en plein air, pour la première fois, à Montpellier. Là où va se rôder l’ensemble du mégashow pendant 10 jours. Hier soir, c’est le rock teigneux et la sobriété qui ont dominé un concert puissant. Sur scène, quinze musiciens, choristes et cuivres plus un chanteur qui se présentera ainsi à 22 h: «J’ai oublié de vous dire que le chanteur du groupe s’appelle Johnny Hallyday!» Leader d’un band serré, soudé, solidaire, qui le temps des premiers morceaux semble tendu vers un seul et même but, faire aussi bien que samedi, lors de la dernière répétition à Burbank. Pari réussi.
«Né dans la rue» confirme que l’humeur est à la bagarre. Les deux guitaristes se retrouvent au-devant de la scène, alors que les élégantes lumières de Jacques Rouveyrollis apportent des nuances rouges et bleues. Non loin du sorcier des éclairages, au fond de la salle, Vanessa Paradis est venue en spectatrice discrète. Peu avant, le chef de la sécurité de la tournée, Jimmy Reffas, faisait les cent pas afin de veiller sur l’autre grande dame: Laeticia Hallyday. Étonnant phénomène, puisque Madame H. déclenche aussi l’hystérie des fans. Elle va même se lever de son siège pour saluer depuis le premier balcon et permettre aux admirateurs de prendre des photos.
Sur scène, jambe droite en avant, parfois à genou, comme dans «Excuse Moi partenaire», Johnny prouve qu’il a retrouvé une nouvelle jeunesse. Un sentiment qui va aller crescendo pendant le show. La scène le galvanise. «Lorsque je vois Charles Aznavour à l’Olympia à 88 ans, je me dis que je peux encore le faire à 68!» commente-t-il à la fin. Johnny est chatouilleux sur son âge. Il aura 69 ans cette année et rabroue gentiment tous ceux qui insistent pour en parler, tentent de lui faire commenter la vie politique ou pis encore, du fisc qui lui cherche des noises. «Ça fait trois ans que je n’ai pas chanté, parlez-moi de musique, pas de politique, faites-moi plaisir!» dit-il, les yeux encore soulignés de khôl, chemise ouverte, lors d’une conférence de presse improvisée.
Il préfère son public à qui il lance son linge éponge et des bouteilles d’eau minérale à peine entamées. «Je vous aime! Je suis drôlement content de vous retrouver ici à Los Angeles où tout a failli se terminer et où tout recommence». Des fans, ravis, sont debout lorsqu’il entame «I Who Have Nothing» en duo avec Amy Keys. Standing ovation à tout rompre à mi-parcours du concert qui présage un retour gagnant. «Je ne m’attendais pas à ça, commente un Américain venu en curieux. C’est très rock!»
La salle se prête parfaitement à l’exercice. D’une capacité de 2000 places, ni trop petite, ni trop grande, elle donne à Johnny le chanteur la capacité de faire surgir l’acteur qui est en lui lors de «Ma gueule», «Requiem pour un fou», «J’la croise tous les matins» - et son départ batterie et guitare puis voix toute seule - ou encore «Hey Joe». Une intensité rare se dégage de ces titres portés à la fois par le groupe et incarnés par un Johnny au sommet. L’homme est tellement à l’aise que les nouveaux venus semblent parfois un peu patauds à ses côtés, comme Yarol Poupaud, guitariste pourtant très inspiré ou encore le bassiste Fred Jimenez qui ne sait pas quoi faire de son corps. Greg Zlap, l’harmoniciste blond, est sans doute le seul qui allie toutes les qualités scéniques: solos brûlants, belle gueule, sens de l’espace et de la danse.
«J’ai été ému ce soir et j’ai eu le trac», avouera Johnny à la sortie. Pour couronner la soirée, deux représentants de l’American Society For Young Musician lui remettront un Award pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense après son premier concert: la tournée 2012 commence décidément très bien.
Johnny Hallyday, stade de Genève, le 2 juin. Première partie Louis Bertignac. Réservations: Ticketcorner et Fnac.
Johnny Hallyday: retour gagnant!
Los Angeles
—
Le concert du rocker français a tenu toutes ses promesses hier soir à l’Orpheum Theater. Il va s’attaquer aux stades avec des effets spéciaux impressionnants. Reportage.
«Est-ce que c’est l’Elvis Français?» nous demande sur le trottoir, sous la marquise de l’Orpheum Theater, un Noir américain corpulent. Il est 19h45 à Los Angeles, mardi, et à entendre parler dans la langue de Molière les dizaines de spectateurs sagement alignés devant le vieux théâtre années quarante, Johnny Hallyday est de retour. Le poids des ans sur le dos mais une envie totalement intacte chevillée au cœur et au corps. A l’image de la salle qui l’accueillait, à la fois chic, old fashion et totalement rénovée, le chanteur est apparu rajeuni, tout de noir vêtu façon Gene Vincent, en voyou chic dans un costume signé Sarah Burton, pour balancer pendant deux heures, un répertoire remis au goût du jour par le guitariste et arrangeur Yarol Poupaud.
Lorsqu’on devine l’ombre géante du chanteur, derrière le rideau blanc, il est 20 h 25. C’est un tonnerre d’applaudissements qui accueille le Français sous les lustres et les lambris. Résonnent alors, après un petit film rétrospectif sur sa vie sa carrière, ses accidents, tentatives de suicide et autre mésaventures narrés par Line Renaud, les premiers accords d’«Allumer le feu» et ces paroles qui résument toute la soirée: «Sortir le loup de sa cage».
D’ici quelques semaines, le loup entrera sur scène de façon fracassante. «Le Matin» est en mesure de confirmer en exclusivité ce que Johnny révélait en janvier dans nos colonnes. L’ouverture du show, dans les stades, se fera dans une boule de métal et de feu qui va fracasser un mur de prison!
Des effets spéciaux à découvrir en plein air, pour la première fois, à Montpellier. Là où va se rôder l’ensemble du mégashow pendant 10 jours. Hier soir, c’est le rock teigneux et la sobriété qui ont dominé un concert puissant. Sur scène, quinze musiciens, choristes et cuivres plus un chanteur qui se présentera ainsi à 22 h: «J’ai oublié de vous dire que le chanteur du groupe s’appelle Johnny Hallyday!» Leader d’un band serré, soudé, solidaire, qui le temps des premiers morceaux semble tendu vers un seul et même but, faire aussi bien que samedi, lors de la dernière répétition à Burbank. Pari réussi.
«Né dans la rue» confirme que l’humeur est à la bagarre. Les deux guitaristes se retrouvent au-devant de la scène, alors que les élégantes lumières de Jacques Rouveyrollis apportent des nuances rouges et bleues. Non loin du sorcier des éclairages, au fond de la salle, Vanessa Paradis est venue en spectatrice discrète. Peu avant, le chef de la sécurité de la tournée, Jimmy Reffas, faisait les cent pas afin de veiller sur l’autre grande dame: Laeticia Hallyday. Étonnant phénomène, puisque Madame H. déclenche aussi l’hystérie des fans. Elle va même se lever de son siège pour saluer depuis le premier balcon et permettre aux admirateurs de prendre des photos.
Sur scène, jambe droite en avant, parfois à genou, comme dans «Excuse Moi partenaire», Johnny prouve qu’il a retrouvé une nouvelle jeunesse. Un sentiment qui va aller crescendo pendant le show. La scène le galvanise. «Lorsque je vois Charles Aznavour à l’Olympia à 88 ans, je me dis que je peux encore le faire à 68!» commente-t-il à la fin. Johnny est chatouilleux sur son âge. Il aura 69 ans cette année et rabroue gentiment tous ceux qui insistent pour en parler, tentent de lui faire commenter la vie politique ou pis encore, du fisc qui lui cherche des noises. «Ça fait trois ans que je n’ai pas chanté, parlez-moi de musique, pas de politique, faites-moi plaisir!» dit-il, les yeux encore soulignés de khôl, chemise ouverte, lors d’une conférence de presse improvisée.
Il préfère son public à qui il lance son linge éponge et des bouteilles d’eau minérale à peine entamées. «Je vous aime! Je suis drôlement content de vous retrouver ici à Los Angeles où tout a failli se terminer et où tout recommence». Des fans, ravis, sont debout lorsqu’il entame «I Who Have Nothing» en duo avec Amy Keys. Standing ovation à tout rompre à mi-parcours du concert qui présage un retour gagnant. «Je ne m’attendais pas à ça, commente un Américain venu en curieux. C’est très rock!»
La salle se prête parfaitement à l’exercice. D’une capacité de 2000 places, ni trop petite, ni trop grande, elle donne à Johnny le chanteur la capacité de faire surgir l’acteur qui est en lui lors de «Ma gueule», «Requiem pour un fou», «J’la croise tous les matins» - et son départ batterie et guitare puis voix toute seule - ou encore «Hey Joe». Une intensité rare se dégage de ces titres portés à la fois par le groupe et incarnés par un Johnny au sommet. L’homme est tellement à l’aise que les nouveaux venus semblent parfois un peu patauds à ses côtés, comme Yarol Poupaud, guitariste pourtant très inspiré ou encore le bassiste Fred Jimenez qui ne sait pas quoi faire de son corps. Greg Zlap, l’harmoniciste blond, est sans doute le seul qui allie toutes les qualités scéniques: solos brûlants, belle gueule, sens de l’espace et de la danse.
«J’ai été ému ce soir et j’ai eu le trac», avouera Johnny à la sortie. Pour couronner la soirée, deux représentants de l’American Society For Young Musician lui remettront un Award pour l'ensemble de sa carrière. Une récompense après son premier concert: la tournée 2012 commence décidément très bien.
Johnny Hallyday, stade de Genève, le 2 juin. Première partie Louis Bertignac. Réservations: Ticketcorner et Fnac.
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Le point.fr
Johnny Hallyday lance sa tournée 2012 en fanfare à Los Angeles
Visiblement ravi de retrouver la scène et ses fans -- "je suis drôlement content d'être avec vous ce soir", a-t-il déclaré en ouverture du spectacle --, Johnny Hallyday, 68 ans, a fait preuve d'une belle santé, enchaînant les deux heures de concert sans pause et paraissant de plus en plus à l'aise physiquement et vocalement, àmesure qu'il enchaînait les titres.
Johnny Hallyday a "allumé le feu" mardi soir au Theâtre Orpheum de Los Angeles devant un public de Français conquis, lancement en fanfare de sa tournée 2012, qui marque ses retrouvailles avec le public deux ans après ses graves problèmes de santé
"C'est formidable de me retrouver ici ce soir avec vous, dans cette ville où ma vie a failli s'arrêter et où ce soir ma vie recommence", a déclaré la star après avoir chauffé la salle avec plusieurs de ses classiques, d'"Allumer le feu" à "Rock'n roll attitude". "Et pour ça, je tenais à vous dire: je vous aime", a-t-il ajouté devant un public composé en grande majorité de Français.
En décembre 2009, Johnny avait dû être hospitalisé en urgence à Los Angeles à la suite de complications consécutives à l'opération d'une hernie discale.
Le "taulier" est apparu sur la scène de l'Orpheum -- un superbe théâtre historique de 2.000 places, rempli mardi soir aux trois-quarts -- sous la forme d'une immense ombre chinoise au centre d'un cercle lumineux.
Le spectacle de deux heures, à la couleur résolument rock et blues, a fait la part belle aux tubes de l'artiste, qui a notamment interprété "Qu'est-ce qu'elle a ma gueule?", "Quelque chose de Tennessee", "Gabrielle", "L'idole des jeunes", "Que je t'aime" ou "L'Envie".
Visiblement ravi de retrouver la scène et ses fans -- "je suis drôlement content d'être avec vous ce soir", a-t-il déclaré en ouverture du spectacle --, Johnny Hallyday, 68 ans, a fait preuve d'une belle santé, enchaînant les deux heures de concert sans pause et paraissant de plus en plus à l'aise physiquement et vocalement, à mesure qu'il enchaînait les titres.
S'il était parfois un peu fâché avec la justesse, le grand fauve a s'est globalement montré d'une santé vocale insolente, rugissant comme il se doit dans "Qu'est-ce qu'elle a ma gueule" et "Que je t'aime".
Dans la salle, étaient notamment présents sa femme Laeticia et ses filles Jade et Joy, ainsi que Vanessa Paradis, le cinéaste Mathieu Kassovitz, la chanteuse Hélène Segara, et l'acteur et réalisateur Mathieu Demy.
La 181e tournée du chanteur comptera plus de 50 dates, en France mais aussi en Russie, en Israël et en Grande-Bretagne.
Johnny Hallyday lance sa tournée 2012 en fanfare à Los Angeles
Visiblement ravi de retrouver la scène et ses fans -- "je suis drôlement content d'être avec vous ce soir", a-t-il déclaré en ouverture du spectacle --, Johnny Hallyday, 68 ans, a fait preuve d'une belle santé, enchaînant les deux heures de concert sans pause et paraissant de plus en plus à l'aise physiquement et vocalement, àmesure qu'il enchaînait les titres.
Johnny Hallyday a "allumé le feu" mardi soir au Theâtre Orpheum de Los Angeles devant un public de Français conquis, lancement en fanfare de sa tournée 2012, qui marque ses retrouvailles avec le public deux ans après ses graves problèmes de santé
"C'est formidable de me retrouver ici ce soir avec vous, dans cette ville où ma vie a failli s'arrêter et où ce soir ma vie recommence", a déclaré la star après avoir chauffé la salle avec plusieurs de ses classiques, d'"Allumer le feu" à "Rock'n roll attitude". "Et pour ça, je tenais à vous dire: je vous aime", a-t-il ajouté devant un public composé en grande majorité de Français.
En décembre 2009, Johnny avait dû être hospitalisé en urgence à Los Angeles à la suite de complications consécutives à l'opération d'une hernie discale.
Le "taulier" est apparu sur la scène de l'Orpheum -- un superbe théâtre historique de 2.000 places, rempli mardi soir aux trois-quarts -- sous la forme d'une immense ombre chinoise au centre d'un cercle lumineux.
Le spectacle de deux heures, à la couleur résolument rock et blues, a fait la part belle aux tubes de l'artiste, qui a notamment interprété "Qu'est-ce qu'elle a ma gueule?", "Quelque chose de Tennessee", "Gabrielle", "L'idole des jeunes", "Que je t'aime" ou "L'Envie".
Visiblement ravi de retrouver la scène et ses fans -- "je suis drôlement content d'être avec vous ce soir", a-t-il déclaré en ouverture du spectacle --, Johnny Hallyday, 68 ans, a fait preuve d'une belle santé, enchaînant les deux heures de concert sans pause et paraissant de plus en plus à l'aise physiquement et vocalement, à mesure qu'il enchaînait les titres.
S'il était parfois un peu fâché avec la justesse, le grand fauve a s'est globalement montré d'une santé vocale insolente, rugissant comme il se doit dans "Qu'est-ce qu'elle a ma gueule" et "Que je t'aime".
Dans la salle, étaient notamment présents sa femme Laeticia et ses filles Jade et Joy, ainsi que Vanessa Paradis, le cinéaste Mathieu Kassovitz, la chanteuse Hélène Segara, et l'acteur et réalisateur Mathieu Demy.
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
http://videos.tf1.fr/jt-13h/johnny-hallyday-retrouve-ses-fans-pour-un-concert-electrique-7192244.html
Ces videos sont les mêmes..droits d auteur me suppriment generalement les videos ..donc plusieurs hebergements pour augmenter leur durée de vie !!
Dernière édition par RONIQUE63 le Mer 25 Avr 2012 - 21:41, édité 5 fois
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Dernière édition par RONIQUE63 le Jeu 26 Avr 2012 - 16:07, édité 1 fois
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Merci C'est super et ça fait du bien ......
Bernard.85- super fan
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Dernière édition par RONIQUE63 le Ven 27 Avr 2012 - 11:03, édité 1 fois
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Midi Libre :
Montpellier Johnny en coulisse, c’est déjà du “sang pour sang” Hallyday
Des dizaines de flight cases noires s’amoncellent dans un couloir grand comme un loft. En marchant plus avant, on découvre la Park & suites Arena déjà - presque - configurée pour les quatre concerts de Johnny Hallyday. Calme et pro, Michel Marseguerra, régisseur général de la tournée 2012, connaît son Johnny live sur le bout des doigts. "J’ai notamment fait tous les stades depuis le parc des Princes, en 1993."
"La capacité de charge aux plafonds est énorme !"
Un fidèle qui découvre la salle montpelliéraine. "Elle est comparable au Palais omnisports de Paris-Bercy, on a beaucoup d’espace pour travailler. Et la capacité de charge aux plafonds est énorme !" Une nécessité pour supporter les nombreuses rampes d’éclairage - "en moyenne d’une tonne et demie" - et les écrans vidéo de l’arrière-scène (750 kg chacun !). "Les spectateurs y verront des films en rapport avec les chansons." Difficile d’en savoir beaucoup plus. "Il faut venir aux concerts..."
Michel Marseguerra promet quand même "pas mal de mouvements de machinerie". Un long plan incliné composé de milliers de diodes devrait jouer aussi son rôle pendant le show. "L’entrée de Johnny sera spectaculaire, comme toujours." L’artiste, connu pour son perfectionnisme, est d’abord allé chercher des idées côté musiciens... américains en majorité. Sauf le Français Yarol Poupaud, ancien guitariste de FFF (Fédération française de funk), à la direction rythmique, et l’harmoniciste Greg Zlap, d’origine polonaise, tous deux déjà partie prenante de la tournée précédente (Tour 66). "Ce gars-là est vraiment impressionnant", apprécie Michel Marseguerra en connaisseur qui en a vu (et entendu) beaucoup. Le guitariste anglais Robin Le Mesurier, qui a accompagné Rod Stewart, participera, lui, à sa troisième épopée “hallydienne” de rang, après celle de Flashback (2006-2007) et Tour 66.
Parfaite accoustique
Ce trio et les onze autres musiciens (dont une section de quatre cuivres) ont fait les indispensables balances, dimanche. "L’acoustique est évidemment très bonne mais c’est toujours mieux, pour le son, lorsqu’il n’y a pas de toit. Le top, selon moi, reste le Stade de France, avec son grand ovale juste au-dessus des tribunes."
Les répétitions avec Johnny ont débuté lundi soir. "Mais tous ont eu quatre semaines complètes à Los Angeles." Un concert événement à l’Orpheum theater de la Cité des Anges, le 24 avril dernier, a permis à ce beau monde d’épater, une première fois, la galerie. Sûr, cependant, que la scène dressée à la Park & suites Arena va révéler, encore une fois, l’immense talent scénique de Johnny Hallyday.
Une croix blanche
Sur le plateau noir, une croix blanche marque un repère : celui de l’idole. Son tabouret - "un fétiche" - trône déjà. Ne reste plus qu’à Allumer le feu pour que toutes les Gabrielle du public repartent avec des étoiles plein les yeux. Et, dans la nuit du vendredi 18 mai, dernière des quatre soirées montpelliéraines, une centaine de techniciens démontera, en six heures à peine, le gigantesque mécano d’acier, de lumières et de sons.
Montpellier Johnny en coulisse, c’est déjà du “sang pour sang” Hallyday
Des dizaines de flight cases noires s’amoncellent dans un couloir grand comme un loft. En marchant plus avant, on découvre la Park & suites Arena déjà - presque - configurée pour les quatre concerts de Johnny Hallyday. Calme et pro, Michel Marseguerra, régisseur général de la tournée 2012, connaît son Johnny live sur le bout des doigts. "J’ai notamment fait tous les stades depuis le parc des Princes, en 1993."
"La capacité de charge aux plafonds est énorme !"
Un fidèle qui découvre la salle montpelliéraine. "Elle est comparable au Palais omnisports de Paris-Bercy, on a beaucoup d’espace pour travailler. Et la capacité de charge aux plafonds est énorme !" Une nécessité pour supporter les nombreuses rampes d’éclairage - "en moyenne d’une tonne et demie" - et les écrans vidéo de l’arrière-scène (750 kg chacun !). "Les spectateurs y verront des films en rapport avec les chansons." Difficile d’en savoir beaucoup plus. "Il faut venir aux concerts..."
Michel Marseguerra promet quand même "pas mal de mouvements de machinerie". Un long plan incliné composé de milliers de diodes devrait jouer aussi son rôle pendant le show. "L’entrée de Johnny sera spectaculaire, comme toujours." L’artiste, connu pour son perfectionnisme, est d’abord allé chercher des idées côté musiciens... américains en majorité. Sauf le Français Yarol Poupaud, ancien guitariste de FFF (Fédération française de funk), à la direction rythmique, et l’harmoniciste Greg Zlap, d’origine polonaise, tous deux déjà partie prenante de la tournée précédente (Tour 66). "Ce gars-là est vraiment impressionnant", apprécie Michel Marseguerra en connaisseur qui en a vu (et entendu) beaucoup. Le guitariste anglais Robin Le Mesurier, qui a accompagné Rod Stewart, participera, lui, à sa troisième épopée “hallydienne” de rang, après celle de Flashback (2006-2007) et Tour 66.
Parfaite accoustique
Ce trio et les onze autres musiciens (dont une section de quatre cuivres) ont fait les indispensables balances, dimanche. "L’acoustique est évidemment très bonne mais c’est toujours mieux, pour le son, lorsqu’il n’y a pas de toit. Le top, selon moi, reste le Stade de France, avec son grand ovale juste au-dessus des tribunes."
Les répétitions avec Johnny ont débuté lundi soir. "Mais tous ont eu quatre semaines complètes à Los Angeles." Un concert événement à l’Orpheum theater de la Cité des Anges, le 24 avril dernier, a permis à ce beau monde d’épater, une première fois, la galerie. Sûr, cependant, que la scène dressée à la Park & suites Arena va révéler, encore une fois, l’immense talent scénique de Johnny Hallyday.
Une croix blanche
Sur le plateau noir, une croix blanche marque un repère : celui de l’idole. Son tabouret - "un fétiche" - trône déjà. Ne reste plus qu’à Allumer le feu pour que toutes les Gabrielle du public repartent avec des étoiles plein les yeux. Et, dans la nuit du vendredi 18 mai, dernière des quatre soirées montpelliéraines, une centaine de techniciens démontera, en six heures à peine, le gigantesque mécano d’acier, de lumières et de sons.
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Info johnny hallyday le web
Comme au précédent Stade de France, il y a une petite scène centrale.
C'est la setlist vue sur la console centrale.
Intro
Allumer le feu
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Autoportrait
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Avec le grand orchestre:
Diego
Tennessee
Marie
Poème sur la 7°
Fils de personne
I who have nothing
Break Gimme shelter
Gabrielle
J'la croise tous les matins
Unplugged:
L'idole des jeunes
Joe pas de rock 'n' roll pour moi
I'm gonna sit right down and cry (over you)
Elle est terrible
Cours plus vite Charlie
Tes tendres années
Que je t'aime
Ma jolie Sarah
Cet homme que voilà
Dégage
L'envie
Sortie
Le chanteur abandonné
Toute la musique que j'aime
Sortie
Quand on a que l'amour
Comme au précédent Stade de France, il y a une petite scène centrale.
C'est la setlist vue sur la console centrale.
Intro
Allumer le feu
Né dans la rue
Autoportrait
Excuse-moi partenaire
Deux étrangers
Ma gueule
Rock 'n' roll attitude
Requiem pour un fou
Avec le grand orchestre:
Diego
Tennessee
Marie
Poème sur la 7°
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Dernière édition par RONIQUE63 le Mar 15 Mai 2012 - 9:59, édité 1 fois
FRED 07120
tu va pas filmer tout le concert ??
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
je n ai pas l appareillage necessaire pour ça..j emmene deux appareils photos de 5OO chaque en esperant que la batteire tienne..faut pas que j oublie de l eteindre entre les prises successives..enfin je serais loin cette fois ci donc..on verra
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Du tout chaud, merci à toi c'est sympa
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dragonsage-
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FRED 07120
moi ALUNA je filme tout le concert integrale avec mon apareil photo il fai video
fred07120- partenaire
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FRED 07120
bien sur
et ca conpletera ma collection de concert amateur ;)
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fred07120- partenaire
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FRED 07120
une carte 4 GO ca doi etre bon pour un concert integrale ???
fred07120- partenaire
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Le nouvel observateur :
Créé le 15-05-2012 à 03h0O
Johnny Hallyday en grand spectacle à Montpellier
Une grosse boule foreuse suspendue brise un mur en flamme et voilà Johnny Hallyday dans un feu d'artifice d'effets sur la scène de l'Arena de Montpellier où il a "allumé le feu" lors du premier concert de sa tournée 2012 "Jamais seul".
Trois semaines après une sorte d'échauffement avec un récital plutôt intime dans un théâtre historique à Los Angeles, le rockeur a visiblement voulu montrer avec cette arrivée fracassante qu'il avait effacé ses problèmes de santé, son opération et hospitalisation d'urgence.
"J'aimerais vous dire simplement quelle joie c'est pour moi d'être avec vous ce soir", a lancé le chanteur, pas économe de mouvements dans un décor de déluge de flammes, de lumières grâce à quelques 3000 projecteurs et d'images sur les 530 m2 de l'écran géant ou d'effets.
"J'ai longtemps rêvé de cette soirée. L'accueil est au-delà de ce que j'espérais", a-t-il ajouté un peu plus tard.
Cinquante-deux ans après ses débuts, le 14 mars 1960, avec "laisse les filles", suivis d'une première tournée en première partie de Sacha Distel et cinquante ans après son premier de ses 40 disques d'or "Let's twist again", le "taulier" a effectué un retour autour de ses fondamentaux: le rock et blues.
Devant sa femme Laeticia, ses enfants casques rose sur la tête et sa belle-famille, Johnny Hallyday, veste et pantalon lamés noir et argent, a enchaîné ses tubes.
A bientôt 69 ans qu'il fêtera au Stade de France, le 15 juin, le taulier, dont c'est la 181e tournée, a certes fait quelques entorses à la justesse. Mais sa puissance est restée intacte. Le lion a montré qu'il rugissait encore.
Dans le public
Après une première partie réussie de Louis Bertignac, Johnny Hallyday s'est lancé dans ses classiques. Dont l'ordre d'interprétation a semblé donner un sens à son retour sur scène: "Je suis né dans la rue", "Autoportrait", "Rock'n roll attitude" puis "Fou d'amour".
Si la majeure partie des chansons a été proposée en version très rock avec cinq, sept ou quinze musiciens, Hallyday a aussi donné une connotation symphonique à certains de ses immanquables, avec un orchestre de 45 musiciens: "Diego" ou "Quelque chose de Tennessee", notamment.
Même si le rockeur l'a dit, "Jamais seul" n'est pas une tournée d'adieu comme devait l'être son inachevé "Tour 66" en 2009, ce spectacle a visité sa carrière. Avec une partie "unplugged" (accoustic), dans le public, où aidé d'un prompteur, il a mélangé le rockabylli et des titres délaissés lors de ses précédents concerts comme "Idole des jeunes".
Après deux heures et vingt cinq minutes de show, dans une Arena quasiment pleine, Hallyday a terminé sous les acclamations avec "Que je t'aime", repris par tous ses fans, "L'envie" puis une émouvante et intime reprise de Jacques Brel, accompagnée juste d'un pianiste, "Quand on n'a que l'amour". Assurément le public en a beaucoup pour lui.
"On a eu très peur pour lui. Et on est venu voir un ressuscité", a reconnu Thierry Fabre, 43 ans, look de rockeur. "C'est le summum. C'est un des meilleurs concerts de Johnny que j'ai jamais vus", a assuré Elyane Rascal, 60 ans, exhibant fièrement son tatouage, une vraie signature de Johnny.
Johnny Hallyday chantera encore trois fois à Montpellier, la ville de naissance de son épouse Laeticia, avant de partir pour sa tournée dans une cinquantaine de villes en France et à l'étranger, avec notamment des premiers passages à Tel-Aviv, Moscou, Londres (Royal Albert Hall) ou New-York (Beacon Theater).
Créé le 15-05-2012 à 03h0O
Johnny Hallyday en grand spectacle à Montpellier
Une grosse boule foreuse suspendue brise un mur en flamme et voilà Johnny Hallyday dans un feu d'artifice d'effets sur la scène de l'Arena de Montpellier où il a "allumé le feu" lors du premier concert de sa tournée 2012 "Jamais seul".
Trois semaines après une sorte d'échauffement avec un récital plutôt intime dans un théâtre historique à Los Angeles, le rockeur a visiblement voulu montrer avec cette arrivée fracassante qu'il avait effacé ses problèmes de santé, son opération et hospitalisation d'urgence.
"J'aimerais vous dire simplement quelle joie c'est pour moi d'être avec vous ce soir", a lancé le chanteur, pas économe de mouvements dans un décor de déluge de flammes, de lumières grâce à quelques 3000 projecteurs et d'images sur les 530 m2 de l'écran géant ou d'effets.
"J'ai longtemps rêvé de cette soirée. L'accueil est au-delà de ce que j'espérais", a-t-il ajouté un peu plus tard.
Cinquante-deux ans après ses débuts, le 14 mars 1960, avec "laisse les filles", suivis d'une première tournée en première partie de Sacha Distel et cinquante ans après son premier de ses 40 disques d'or "Let's twist again", le "taulier" a effectué un retour autour de ses fondamentaux: le rock et blues.
Devant sa femme Laeticia, ses enfants casques rose sur la tête et sa belle-famille, Johnny Hallyday, veste et pantalon lamés noir et argent, a enchaîné ses tubes.
A bientôt 69 ans qu'il fêtera au Stade de France, le 15 juin, le taulier, dont c'est la 181e tournée, a certes fait quelques entorses à la justesse. Mais sa puissance est restée intacte. Le lion a montré qu'il rugissait encore.
Dans le public
Après une première partie réussie de Louis Bertignac, Johnny Hallyday s'est lancé dans ses classiques. Dont l'ordre d'interprétation a semblé donner un sens à son retour sur scène: "Je suis né dans la rue", "Autoportrait", "Rock'n roll attitude" puis "Fou d'amour".
Si la majeure partie des chansons a été proposée en version très rock avec cinq, sept ou quinze musiciens, Hallyday a aussi donné une connotation symphonique à certains de ses immanquables, avec un orchestre de 45 musiciens: "Diego" ou "Quelque chose de Tennessee", notamment.
Même si le rockeur l'a dit, "Jamais seul" n'est pas une tournée d'adieu comme devait l'être son inachevé "Tour 66" en 2009, ce spectacle a visité sa carrière. Avec une partie "unplugged" (accoustic), dans le public, où aidé d'un prompteur, il a mélangé le rockabylli et des titres délaissés lors de ses précédents concerts comme "Idole des jeunes".
Après deux heures et vingt cinq minutes de show, dans une Arena quasiment pleine, Hallyday a terminé sous les acclamations avec "Que je t'aime", repris par tous ses fans, "L'envie" puis une émouvante et intime reprise de Jacques Brel, accompagnée juste d'un pianiste, "Quand on n'a que l'amour". Assurément le public en a beaucoup pour lui.
"On a eu très peur pour lui. Et on est venu voir un ressuscité", a reconnu Thierry Fabre, 43 ans, look de rockeur. "C'est le summum. C'est un des meilleurs concerts de Johnny que j'ai jamais vus", a assuré Elyane Rascal, 60 ans, exhibant fièrement son tatouage, une vraie signature de Johnny.
Johnny Hallyday chantera encore trois fois à Montpellier, la ville de naissance de son épouse Laeticia, avant de partir pour sa tournée dans une cinquantaine de villes en France et à l'étranger, avec notamment des premiers passages à Tel-Aviv, Moscou, Londres (Royal Albert Hall) ou New-York (Beacon Theater).
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Le parisien.fr
Les fans de Johnny Hallyday sont de grands enfants. Certains ont beau afficher presque autant de décennies au compteur que leur idole, ils ont campé comme des adolescents fébriles pour être au premier rang hier devant l’Arena de Montpellier, où la star lance cette semaine sa nouvelle tournée marathon.
Mais avant cela, en pareilles circonstances il y a des rituels à respecter.
Il faut d’abord guetter la tribune VIP pour repérer quelques têtes connues comme celle de Christophe Maé, le régional de l’étape venu avec sa compagne, Nadège, voir le rockeur à qui il a écrit une chanson il y a quelques années. Puis, à quelques minutes du début, la tradition veut que ce soit Laeticia Hallyday qui s’installe comme l’ultime signal du coup d’envoi du nouveau show de son époux.
Du rock musclé, taillé pour le plus grand nombre
Alors, seulement après tout cela, à 21h30, au moment de l’entrée en scène de Johnny, ils savourent. Telle une délivrance dans tous les sens du terme, en devinant Hallyday derrière son impressionnant mur d’écrans. Il cogne et recogne encore pour détruire la façade d’une fortification virtuelle dans un fracas assourdissant. Puis, le rockeur apparaît enfin, suspendu dans une boule géante, parti pour une déambulation en apesanteur, avant que son drôle d’engin ne se pose sur scène pour entamer « Allumer le feu ».
Tout de cuir vêtu, le chanteur veut en découdre, parle peu, à part un « Quelle joie pour moi d’être avec vous ce soir », en met d’emblée plein la vue avec d‘impressionnantes projections de masques terrifiants, de buildings en feu, de flammes qui surgissent devant lui pendant le refrain de son hymne destiné à faire bouillir le public, qui chante déjà. A peine le temps de souffler sur les braises que Johnny et son groupe enchaînent « Né dans la rue ».
Pendant ce temps, une autre bête de scène s’installe discrètement dans les gradins : JoeyStarr, accompagné de son manageur, Sébastien Farran, devenu depuis quelques semaines celui de Johnny. Son nouveau collaborateur veut le recentrer sur ce qu’il sait faire de mieux : du rock musclé, taillé pour le plus grand nombre. Et à ce petit jeu, à bientôt 69 ans, Johnny a de la ressource. Il balance son « Autoportrait », seule vraie nouvelle chanson du show. Ill enchaîne avec son classique « Excuse-moi partenaire » puis avec l’impressionnant « Deux Etrangers », où l’animal Johnny prend toute sa dimension. Il se laisse emporter par le swing du morceau. Puis sa voix semble défaillir. On s’inquiète. Johnny met un genou à terre, puis s’allonge, continue à chanter, déchiré par la chanson. Un grand numéro d’acteur-chanteur. « Quoi ma gueule, qu’est-ce qu’elle a ma gueule », hurle ensuite la star avant « Rock’n’roll attitude ». Pas question de chercher ce soir des noises à Johnny, qui en impose au fil des morceaux comme « Requiem pour un fou » ou peu avant 22h30 alors que l’orchestre symphonique s’installe derrière lui pour un tribal « Diego » et une magnifique version de « Quelque chose de Tennessee » suivie de l’incontournable « Marie ». Johnny comme son public l’aime !
Les fans de Johnny Hallyday sont de grands enfants. Certains ont beau afficher presque autant de décennies au compteur que leur idole, ils ont campé comme des adolescents fébriles pour être au premier rang hier devant l’Arena de Montpellier, où la star lance cette semaine sa nouvelle tournée marathon.
Mais avant cela, en pareilles circonstances il y a des rituels à respecter.
Il faut d’abord guetter la tribune VIP pour repérer quelques têtes connues comme celle de Christophe Maé, le régional de l’étape venu avec sa compagne, Nadège, voir le rockeur à qui il a écrit une chanson il y a quelques années. Puis, à quelques minutes du début, la tradition veut que ce soit Laeticia Hallyday qui s’installe comme l’ultime signal du coup d’envoi du nouveau show de son époux.
Du rock musclé, taillé pour le plus grand nombre
Alors, seulement après tout cela, à 21h30, au moment de l’entrée en scène de Johnny, ils savourent. Telle une délivrance dans tous les sens du terme, en devinant Hallyday derrière son impressionnant mur d’écrans. Il cogne et recogne encore pour détruire la façade d’une fortification virtuelle dans un fracas assourdissant. Puis, le rockeur apparaît enfin, suspendu dans une boule géante, parti pour une déambulation en apesanteur, avant que son drôle d’engin ne se pose sur scène pour entamer « Allumer le feu ».
Tout de cuir vêtu, le chanteur veut en découdre, parle peu, à part un « Quelle joie pour moi d’être avec vous ce soir », en met d’emblée plein la vue avec d‘impressionnantes projections de masques terrifiants, de buildings en feu, de flammes qui surgissent devant lui pendant le refrain de son hymne destiné à faire bouillir le public, qui chante déjà. A peine le temps de souffler sur les braises que Johnny et son groupe enchaînent « Né dans la rue ».
Pendant ce temps, une autre bête de scène s’installe discrètement dans les gradins : JoeyStarr, accompagné de son manageur, Sébastien Farran, devenu depuis quelques semaines celui de Johnny. Son nouveau collaborateur veut le recentrer sur ce qu’il sait faire de mieux : du rock musclé, taillé pour le plus grand nombre. Et à ce petit jeu, à bientôt 69 ans, Johnny a de la ressource. Il balance son « Autoportrait », seule vraie nouvelle chanson du show. Ill enchaîne avec son classique « Excuse-moi partenaire » puis avec l’impressionnant « Deux Etrangers », où l’animal Johnny prend toute sa dimension. Il se laisse emporter par le swing du morceau. Puis sa voix semble défaillir. On s’inquiète. Johnny met un genou à terre, puis s’allonge, continue à chanter, déchiré par la chanson. Un grand numéro d’acteur-chanteur. « Quoi ma gueule, qu’est-ce qu’elle a ma gueule », hurle ensuite la star avant « Rock’n’roll attitude ». Pas question de chercher ce soir des noises à Johnny, qui en impose au fil des morceaux comme « Requiem pour un fou » ou peu avant 22h30 alors que l’orchestre symphonique s’installe derrière lui pour un tribal « Diego » et une magnifique version de « Quelque chose de Tennessee » suivie de l’incontournable « Marie ». Johnny comme son public l’aime !
dragonsage-
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