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"JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Pour les habitants de Montreal ..
De nouveaux billets seront mis en vente ce lundi, à 12 h, en vue des deux concerts que donnera le rockeur français Johnny Hallyday au Centre Bell de Montréal les 4 et 5 octobre.
Les billets – 78,50 $, 103,50 $, 138,50 $ – seront mis en vente ce lundi, à 12 h, à la billetterie du Centre Bell, par téléphone (514 790-2525 ou 1 877 668-8269) et en ligne (evenko.ca).
De nouveaux billets seront mis en vente ce lundi, à 12 h, en vue des deux concerts que donnera le rockeur français Johnny Hallyday au Centre Bell de Montréal les 4 et 5 octobre.
Les billets – 78,50 $, 103,50 $, 138,50 $ – seront mis en vente ce lundi, à 12 h, à la billetterie du Centre Bell, par téléphone (514 790-2525 ou 1 877 668-8269) et en ligne (evenko.ca).
dragonsage-
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Et voici les photos de sebastienjh (facebookien)..
Sur la set liste seul "degage" n'a pas été chanté...
**************
Le Devoir.com - Libre de penser :
Sur place, on comprend tout
Johnny Hallyday au Centre Bell: show formidable, chanteur pas tuable
Jeudi, je vous aurais tous voulu là. Les détracteurs de toutes dénominations, les amusés à degrés divers, ceux qui me disent depuis toujours: Johnny, moi pas comprendre. Sur place, on comprend. Tout.
Sur place, il y a Johnny vivant. Très vivant. Pas tuable. Bronchite? Quelle bronchite? Coma artificiel? Quel coma? Fallait l’entendre hurler à la mort, le Johnny, à la fin de Requiem pour un fou. Fallait l’entendre, accotant Tom Jones dans la montée vertigineuse du l’immense et soulful I (Who Have Nothing). Fallait l’entendre pousser Le pénitencier dans la clé d’origine, comme en 1964: on écrase dans son siège. Et puis on est soulevé. Comme un pilote d’avion de chasse soumis à des pressions trop grandes.
Vous allez dire: c’est un fan fini. Ne voit pas clair. Obnubilé, le Cormier. Je vais vous dire: j’ai déjà vu Johnny moins formidable que jeudi soir. Sur les Plaines en juillet, il tenait moins la forme. Mais il ne se donnait pas moins: jamais je n’ai vu Johnny s’économiser. Il ne saurait pas comment. C’est ça que l’on comprend sur place: le don de soi.
Tiens, j’ai rencontré le collègue Daniel Lemay de La Presse pendant le showcase des musiciens, le seul moment où Johnny s’éclipse, le temps de s’éponger et de troquer ses cuirs pour l’habit: eh ben, il était soufflé, l’ami Lemay. Crier comme Johnny crie, ça le jetait par terre, lui aussi. Toute la foule, de fait, pas seulement les Français délirants de bonheur aux premiers rangs, en lâchait son fromage et accusait le coup, 12 000 mâchoires ballantes: chacun comprenait pourquoi, après les medleys de février à Star Académie, l’impulsion avait été plus forte que tout. Fallait aller vérifiez: une vraie bête de scène, Johnny Hallyday? Oui, un showman extraordinaire. Foi de foule où les fans finis n’étaient pas en majorité: des curieux, beaucoup de curieux, en ont eu plein le plexus.
C’était le spectacle qui fait qu’en Europe, après 50 ans, on est encore et toujours là pour lui. Bien sûr que l’habillage est grandguignolesque, l’imagerie des projections sortis d’un salon de tatouage et de jeux vidéos de fin du monde. Bien sûr que ça pétarade et ça flambe de partout au début pour Allumer le feu, bien sûr que la grosse artillerie est déployée, genre Bon Jovi au centuple, bien sûr que ça se prend un peu beaucoup au sérieux. Pas grave. Quant Johnny monte dans le registre au milieu de Diego libre dans sa tête, c’est géant. Quand les cuivres s’amènent pour Ma gueule, on fait ouf. Quand le grand orchestre (montréalais) vient l’accompagner pour Quelque chose de Tennessee, on craque. On pleure. On dit comme lui, homme de peu de mots qui répète et répète au public qu’il est «formidable»: oui, formidable Johnny.
Et Johnny qui nous a compris, en plus. À Québec, il manquait une poignée des succès québécois de Johnny pour que le spectacle nous concerne comme il fallait. Jeudi soir, il a ajouté Hey Joe, et surtout, surtout, Le pénitencier. Avec les Excuse-moi partenaire, L’idole des jeunes, Tes tendres années, Elle est terrible, Fils de personne et l’imparable Que je l’aime, on atteignait le quota. Et tout le monde, en plus d’être absolument impressionné, était comblé.
Il en remet une couche ce vendredi. Avec ou sans Marie-Mai cette fois? Faudrait y retourner. J’y pense, tiens.
*****************
johnny hallyday le web..
Set list concert Montréal Centre Bell 04 Octobre 2012
Intro
Allumer le feu
Je suis né dans la rue
Excuse moi partenaire
Ma gueule
Marie
Deux étrangers
Diego
Quelque chose de Tenessee
Poème sur la 7ème
Requiem pour un fou
Rock'n roll attitude ( en duo avec Marie Mai)
I who have nothing (en duo avec Amy Keys)
Intermède : Knock on wood
Gabrielle
Hey Joe
L'idole des jeunes
Joue pas de rock'n roll pour moi
I'm gonna sit right down
Elle est terrible
Cours plus vite Charlie
Tes tendres années
Que je t'aime
Le pénitencier
Fils de personne (en duo avec Yarold Poupaud)
L'envie
La musique que j'aime
Quand on n'a que l'amour
***************
http://www.webpresse.ca/#!/video/506e63c32575a/premiere-du-spectacle-de-johnny-hallyday
Sur la set liste seul "degage" n'a pas été chanté...
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Le Devoir.com - Libre de penser :
Sur place, on comprend tout
Johnny Hallyday au Centre Bell: show formidable, chanteur pas tuable
Jeudi, je vous aurais tous voulu là. Les détracteurs de toutes dénominations, les amusés à degrés divers, ceux qui me disent depuis toujours: Johnny, moi pas comprendre. Sur place, on comprend. Tout.
Sur place, il y a Johnny vivant. Très vivant. Pas tuable. Bronchite? Quelle bronchite? Coma artificiel? Quel coma? Fallait l’entendre hurler à la mort, le Johnny, à la fin de Requiem pour un fou. Fallait l’entendre, accotant Tom Jones dans la montée vertigineuse du l’immense et soulful I (Who Have Nothing). Fallait l’entendre pousser Le pénitencier dans la clé d’origine, comme en 1964: on écrase dans son siège. Et puis on est soulevé. Comme un pilote d’avion de chasse soumis à des pressions trop grandes.
Vous allez dire: c’est un fan fini. Ne voit pas clair. Obnubilé, le Cormier. Je vais vous dire: j’ai déjà vu Johnny moins formidable que jeudi soir. Sur les Plaines en juillet, il tenait moins la forme. Mais il ne se donnait pas moins: jamais je n’ai vu Johnny s’économiser. Il ne saurait pas comment. C’est ça que l’on comprend sur place: le don de soi.
Tiens, j’ai rencontré le collègue Daniel Lemay de La Presse pendant le showcase des musiciens, le seul moment où Johnny s’éclipse, le temps de s’éponger et de troquer ses cuirs pour l’habit: eh ben, il était soufflé, l’ami Lemay. Crier comme Johnny crie, ça le jetait par terre, lui aussi. Toute la foule, de fait, pas seulement les Français délirants de bonheur aux premiers rangs, en lâchait son fromage et accusait le coup, 12 000 mâchoires ballantes: chacun comprenait pourquoi, après les medleys de février à Star Académie, l’impulsion avait été plus forte que tout. Fallait aller vérifiez: une vraie bête de scène, Johnny Hallyday? Oui, un showman extraordinaire. Foi de foule où les fans finis n’étaient pas en majorité: des curieux, beaucoup de curieux, en ont eu plein le plexus.
C’était le spectacle qui fait qu’en Europe, après 50 ans, on est encore et toujours là pour lui. Bien sûr que l’habillage est grandguignolesque, l’imagerie des projections sortis d’un salon de tatouage et de jeux vidéos de fin du monde. Bien sûr que ça pétarade et ça flambe de partout au début pour Allumer le feu, bien sûr que la grosse artillerie est déployée, genre Bon Jovi au centuple, bien sûr que ça se prend un peu beaucoup au sérieux. Pas grave. Quant Johnny monte dans le registre au milieu de Diego libre dans sa tête, c’est géant. Quand les cuivres s’amènent pour Ma gueule, on fait ouf. Quand le grand orchestre (montréalais) vient l’accompagner pour Quelque chose de Tennessee, on craque. On pleure. On dit comme lui, homme de peu de mots qui répète et répète au public qu’il est «formidable»: oui, formidable Johnny.
Et Johnny qui nous a compris, en plus. À Québec, il manquait une poignée des succès québécois de Johnny pour que le spectacle nous concerne comme il fallait. Jeudi soir, il a ajouté Hey Joe, et surtout, surtout, Le pénitencier. Avec les Excuse-moi partenaire, L’idole des jeunes, Tes tendres années, Elle est terrible, Fils de personne et l’imparable Que je l’aime, on atteignait le quota. Et tout le monde, en plus d’être absolument impressionné, était comblé.
Il en remet une couche ce vendredi. Avec ou sans Marie-Mai cette fois? Faudrait y retourner. J’y pense, tiens.
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johnny hallyday le web..
Set list concert Montréal Centre Bell 04 Octobre 2012
Intro
Allumer le feu
Je suis né dans la rue
Excuse moi partenaire
Ma gueule
Marie
Deux étrangers
Diego
Quelque chose de Tenessee
Poème sur la 7ème
Requiem pour un fou
Rock'n roll attitude ( en duo avec Marie Mai)
I who have nothing (en duo avec Amy Keys)
Intermède : Knock on wood
Gabrielle
Hey Joe
L'idole des jeunes
Joue pas de rock'n roll pour moi
I'm gonna sit right down
Elle est terrible
Cours plus vite Charlie
Tes tendres années
Que je t'aime
Le pénitencier
Fils de personne (en duo avec Yarold Poupaud)
L'envie
La musique que j'aime
Quand on n'a que l'amour
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http://www.webpresse.ca/#!/video/506e63c32575a/premiere-du-spectacle-de-johnny-hallyday
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Prochain concert..07 octobre New York Beacon Theate
Publicité pour le concert de Johnny Hallyday à New York le 7 octobre 2012 au Beacon Theatre. Publicité pour le concert de Johnny Hallyday diffusée sur les écrans du Madison Square Garden.
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Set Liste de NY il faut enlever "High Had Shickers" et " Quand on a que l'amour"
Le parisien.fr : VIDEO. Johnny Hallyday a enflammé New York
http://www.leparisien.fr/loisirs-et-spectacles/video-johnny-hallyday-a-enflamme-new-york-08-10-2012-2214587.php
VIDEO. Johnny Hallyday a enflammé New York
Publié le 08.10.2012, 06h36 | Mise à jour : 09h16
Envoyer
Après deux concerts de Montréal la semaine dernière, Johnny a chanté dimanche soir à New York pour la première de sa carrière.
Johnny est bien de retour. En forme malgré ses 69 printemps et ses récents ennuis de santé, la rock star s'est produite pour la première fois de sa vie à New York.
Après les deux méga-concerts de Montréal, qui ont chacun réuni jeudi et vendredi 15 000 personnes, Johnny a choisi le cadre plus intime du Beacon Theatre, petit bijou de 2800 places construit en 1929.
Durant près de deux heures, Johnny Hallyday a bien sûr chanté ses plus grands tubes, mais il s'est aussi amusé à interpréter deux titres en anglais, dont "I'll never let you go" d'Elvis Presley. Il a également tenu à rendre hommage à Michel Berger en reprenant «Diego libre dans sa tête». Il a terminé par la célèbre chanson de Jacques Brel «Quand on n'a que l'amour», accompagné d'un simple piano.
Pantalon et veste de cuir noir, croix d'argent autour du cou, le chanteur n'a pas eu à faire beaucoup d'effort pour «allumer le feu», son premier titre de la soirée. Le public, largement composé de Français était conquis d'avance, beaucoup connaissaient par coeur tous les tubes de l'idole des jeunes.
C'était à la fois intime et spectaculaire
«J'arrêtais pas de pleurer, j'étais comme un fou», a déclaré Jean-Christophe, un fan venu de Tampa en Floride. «J'ai eu Johnny au biberon. Et même si j'ai quitté la France en 95, ça ne s'oublie pas. Je l'avais vu à 14 ans à Nice, je n'aurais jamais cru le revoir vivant». Il est là avec sa femme américaine, Sandra, qui si elle n'a pas succombé au charme du rockeur français, est émerveillée d'avoir vu son mari «chanter absolument toutes ses chansons».
Michel, un magasinier de 53 ans, est venu lui spécialement du Havre avec une amie. «J'étais inquiet que son concert soit annulé à cause de ce que disaient les médias sur ses ennuis de santé. Mais non, il était en forme». Ce fan parmi les fans a de quoi comparer : en 30 ans, il a vu 110 concerts de Johnny qu'il ira encore voir à Amiens le 13, puis à Rouen et Caen en novembre.
Victoire, 32 ans, Française installée à New York est là avec des amis. «On est tous là pour lui. Il est vraiment sensationnel à son âge. Et ce n'était pas trop grand, on l'a bien vu, c'était à la fois intime et spectaculaire».
Se produire à New York était pour lui une première en plus de 50 ans de carrière, et il s'en était dit «vraiment ravi». «Je connais très bien cette ville car j'y ai vécu et enregistré certains de mes albums, c'est aussi une des villes mythiques du rock'n'roll, donc il fallait que je joue ici», a déclaré Johnny Hallyday avant de monter sur scène.
*************
pure people :
Le parisien.fr : VIDEO. Johnny Hallyday a enflammé New York
http://www.leparisien.fr/loisirs-et-spectacles/video-johnny-hallyday-a-enflamme-new-york-08-10-2012-2214587.php
VIDEO. Johnny Hallyday a enflammé New York
Publié le 08.10.2012, 06h36 | Mise à jour : 09h16
Envoyer
Après deux concerts de Montréal la semaine dernière, Johnny a chanté dimanche soir à New York pour la première de sa carrière.
Johnny est bien de retour. En forme malgré ses 69 printemps et ses récents ennuis de santé, la rock star s'est produite pour la première fois de sa vie à New York.
Après les deux méga-concerts de Montréal, qui ont chacun réuni jeudi et vendredi 15 000 personnes, Johnny a choisi le cadre plus intime du Beacon Theatre, petit bijou de 2800 places construit en 1929.
Durant près de deux heures, Johnny Hallyday a bien sûr chanté ses plus grands tubes, mais il s'est aussi amusé à interpréter deux titres en anglais, dont "I'll never let you go" d'Elvis Presley. Il a également tenu à rendre hommage à Michel Berger en reprenant «Diego libre dans sa tête». Il a terminé par la célèbre chanson de Jacques Brel «Quand on n'a que l'amour», accompagné d'un simple piano.
Pantalon et veste de cuir noir, croix d'argent autour du cou, le chanteur n'a pas eu à faire beaucoup d'effort pour «allumer le feu», son premier titre de la soirée. Le public, largement composé de Français était conquis d'avance, beaucoup connaissaient par coeur tous les tubes de l'idole des jeunes.
C'était à la fois intime et spectaculaire
«J'arrêtais pas de pleurer, j'étais comme un fou», a déclaré Jean-Christophe, un fan venu de Tampa en Floride. «J'ai eu Johnny au biberon. Et même si j'ai quitté la France en 95, ça ne s'oublie pas. Je l'avais vu à 14 ans à Nice, je n'aurais jamais cru le revoir vivant». Il est là avec sa femme américaine, Sandra, qui si elle n'a pas succombé au charme du rockeur français, est émerveillée d'avoir vu son mari «chanter absolument toutes ses chansons».
Michel, un magasinier de 53 ans, est venu lui spécialement du Havre avec une amie. «J'étais inquiet que son concert soit annulé à cause de ce que disaient les médias sur ses ennuis de santé. Mais non, il était en forme». Ce fan parmi les fans a de quoi comparer : en 30 ans, il a vu 110 concerts de Johnny qu'il ira encore voir à Amiens le 13, puis à Rouen et Caen en novembre.
Victoire, 32 ans, Française installée à New York est là avec des amis. «On est tous là pour lui. Il est vraiment sensationnel à son âge. Et ce n'était pas trop grand, on l'a bien vu, c'était à la fois intime et spectaculaire».
Se produire à New York était pour lui une première en plus de 50 ans de carrière, et il s'en était dit «vraiment ravi». «Je connais très bien cette ville car j'y ai vécu et enregistré certains de mes albums, c'est aussi une des villes mythiques du rock'n'roll, donc il fallait que je joue ici», a déclaré Johnny Hallyday avant de monter sur scène.
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Dernière édition par RONIQUE63 le Lun 8 Oct 2012 - 11:06, édité 1 fois
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Pour jeudi..EPERNEY..
En entamant sa tournée automnale ce jeudi 11 octobre à Epernay, Johnny Hallyday entend bien faire taire toutes les spéculations qui tournent autour de son état de santé depuis cet été. Rendez-vous est pris.
Rarement un concert à Epernay n'aura suscité autant d'interrogations, et rarement sans doute il ne drainera autant de curieux et journalistes. C'est en effet au Millésium, ce jeudi 11 octobre, que Johnny Hallyday donnera le premier concert de sa tournée automnale en France. Pas de quoi faire le buzz dans l'absolu, si ce n'est que cette date est la première du chanteur en France après ses soucis de santé cet été.
Et comme rien ne se passe normalement avec Johnny, cet épisode estival a été au centre d'un psychodrame médiatico-culturel durant lequel l'annulation même du concert à Epernay et d'une partie de la tournée avait été évoquée.
Il n'en est finalement rien et, sauf revirement de situation de dernière minute, Johnny sera bien au Millésium d'Epernay jeudi. Il aura auparavant relancé la machine loin de la pression médiatique française avec des concerts qui se sont déroulés cette semaine à Montréal (les 4 et 5 octobre) et un prévu ce dimanche 7 octobre à New York.
Un nouvel album dans un mois
Nul doute donc que cette première à Epernay sera scrutée avec attention, les uns cherchant chez le chanteur des signes de faiblesse, les autres au contraire se rassureront en voyant leur idole en pleine forme.
Sur scène, Johnny assura les titres d'une tournée « Jamais seul » débutée en mai dernier avant sa longue pause estivale. Il pourrait aussi réserver quelques surprises au public sparnacien puisqu'il a travaillé aussi cet été sur son prochain album, « L'Attente » dont la sortie est prévue le 12 novembre prochain. Le premier single est déjà disponible et montre un Johnny tout en douceur dans une grande ballade mélancolique.
Quant à l'album qui doit sortir dans un mois, il marquera « un retour aux années 1970-1980 » quand « les paroles, les mélodies voulaient dire quelque chose » dixit Johnny himself. Pour ce nouvel opus, le chanteur a décidé de faire appel à du sang neuf avec des auteurs-compositeurs moins connus hormis le Breton Miossec qui devrait signer cinq textes à commencer par le single déjà disponible et qui a donné son nom à l'album, « L'Attente ». Un morceau dont les spectateurs du Millésium auront peut-être la primeur en concert…
Johnny Hallyday, jeudi 11 octobre, le Millesium, 20 heures, Epernay. Places de 55 à 130 euros.
Rubrique Grégoire Amir-Tahmasseb
En entamant sa tournée automnale ce jeudi 11 octobre à Epernay, Johnny Hallyday entend bien faire taire toutes les spéculations qui tournent autour de son état de santé depuis cet été. Rendez-vous est pris.
Rarement un concert à Epernay n'aura suscité autant d'interrogations, et rarement sans doute il ne drainera autant de curieux et journalistes. C'est en effet au Millésium, ce jeudi 11 octobre, que Johnny Hallyday donnera le premier concert de sa tournée automnale en France. Pas de quoi faire le buzz dans l'absolu, si ce n'est que cette date est la première du chanteur en France après ses soucis de santé cet été.
Et comme rien ne se passe normalement avec Johnny, cet épisode estival a été au centre d'un psychodrame médiatico-culturel durant lequel l'annulation même du concert à Epernay et d'une partie de la tournée avait été évoquée.
Il n'en est finalement rien et, sauf revirement de situation de dernière minute, Johnny sera bien au Millésium d'Epernay jeudi. Il aura auparavant relancé la machine loin de la pression médiatique française avec des concerts qui se sont déroulés cette semaine à Montréal (les 4 et 5 octobre) et un prévu ce dimanche 7 octobre à New York.
Un nouvel album dans un mois
Nul doute donc que cette première à Epernay sera scrutée avec attention, les uns cherchant chez le chanteur des signes de faiblesse, les autres au contraire se rassureront en voyant leur idole en pleine forme.
Sur scène, Johnny assura les titres d'une tournée « Jamais seul » débutée en mai dernier avant sa longue pause estivale. Il pourrait aussi réserver quelques surprises au public sparnacien puisqu'il a travaillé aussi cet été sur son prochain album, « L'Attente » dont la sortie est prévue le 12 novembre prochain. Le premier single est déjà disponible et montre un Johnny tout en douceur dans une grande ballade mélancolique.
Quant à l'album qui doit sortir dans un mois, il marquera « un retour aux années 1970-1980 » quand « les paroles, les mélodies voulaient dire quelque chose » dixit Johnny himself. Pour ce nouvel opus, le chanteur a décidé de faire appel à du sang neuf avec des auteurs-compositeurs moins connus hormis le Breton Miossec qui devrait signer cinq textes à commencer par le single déjà disponible et qui a donné son nom à l'album, « L'Attente ». Un morceau dont les spectateurs du Millésium auront peut-être la primeur en concert…
Johnny Hallyday, jeudi 11 octobre, le Millesium, 20 heures, Epernay. Places de 55 à 130 euros.
Rubrique Grégoire Amir-Tahmasseb
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
La croix.com
Johnny Hallyday, porté par un public débordant d'amour, a signé un retour triomphal jeudi soir sur la scène du Millesium à Epernay (Marne) pour la reprise de sa tournée "Jamais seul" après ses récents ennuis de santé.
Dès l'entrée en scène du "taulier" traversant un déluge pyrotechnique, le public déjà conquis à "allumé le feu" avec lui, soutenu par une section rythmique radicale et des guitares puissantes.
Vêtu de cuir noir pailleté, main droite gantée et chaîne d'argent au cou, Johnny a enchaîné les tubes, "Ma gueule", "Marie", "Diégo", délivrant entre deux morceaux ses messages d'amour à la salle comble.
"Je vais aimer être avec vous ce soir", a déclaré Johnny à l'issue du deuxième morceau.
"Ca me fait du bien d'être avec vous, je vous aime", a-t-il confié plus tard à ses fans qui en retour ont scandé pendant de longues minutes des "Johnny, Johnny".
Tout au long du concert, l'"idole des jeunes" de 69 ans n'a eu de cesse d'afficher sa "rock'n roll attitude" et une belle énergie, quelques semaines après une hospitalisation de cinq jours dans les Antilles françaises, officiellement pour une gêne respiratoire.
Après une heure et demie de spectacle, le rockeur s'est lancé dans un "Que je t'aime" fougueux, rythmé par l'écho amoureux de ses fans survoltés, avant de conclure par la chanson de Jacques Brel "Quand on a que l'amour" accompagné des notes sobres d'un piano solo.
A la sortie, les spectateurs sourire aux lèvres ont tous salué la performance, le charisme et la grande forme de Johnny Hallyday.
"C'est mon 400e concert de Johnny et il est dans une forme incroyable, c'est le meilleur", s'est réjoui un fan venu d'Orléans qui se surnomme Johnny Rider.
"On sent qu'il est content d'être revenu, c'était du grand Johnny ce soir", a renchéri David Bour, 30 ans, arborant un tee-shirt à l'effigie de son idole.
Même ferveur pour Elisabeth Dalle, 49 ans qui a souligné "l'énergie incroyable" du rockeur "qui tient son public de bout en bout avec amour".
Le chanteur est attendu samedi à Amiens avant de poursuivre sa tournée dans les Zénith de province, ainsi que dans les salles de Londres, Bruxelles, Luxembourg et Genève. Sa tournée s'achèvera le 22 décembre à Marseille.
*************
Johnny Hallyday Le Web
SET LIST CONCERT Epernay Millesium 11 Octobre 2012
Intro
Allumer le feu
Je suis né dans la rue
Excuse moi partenaire
Ma gueule
Marie
Deux étrangers
Diégo
Quelque chose de Tenessee
Rock'n'roll attitude
I who have nothing (en duo avec Amy Keys)
Intermède : Hi heel snakers
Gabrielle
Hey Joe
L'idole des jeunes
Joue pas de rock'n roll pour moi
I'm gonna sit right down
Elle est terrible
Cours plus vite Charlie
Tes tendres années
Que je t'aime
Fils de personne (en duo avec Yarold Poupaud)
L'envie
La musique que j'aime
Quand on n'a que l'amour
Johnny Hallyday, porté par un public débordant d'amour, a signé un retour triomphal jeudi soir sur la scène du Millesium à Epernay (Marne) pour la reprise de sa tournée "Jamais seul" après ses récents ennuis de santé.
Dès l'entrée en scène du "taulier" traversant un déluge pyrotechnique, le public déjà conquis à "allumé le feu" avec lui, soutenu par une section rythmique radicale et des guitares puissantes.
Vêtu de cuir noir pailleté, main droite gantée et chaîne d'argent au cou, Johnny a enchaîné les tubes, "Ma gueule", "Marie", "Diégo", délivrant entre deux morceaux ses messages d'amour à la salle comble.
"Je vais aimer être avec vous ce soir", a déclaré Johnny à l'issue du deuxième morceau.
"Ca me fait du bien d'être avec vous, je vous aime", a-t-il confié plus tard à ses fans qui en retour ont scandé pendant de longues minutes des "Johnny, Johnny".
Tout au long du concert, l'"idole des jeunes" de 69 ans n'a eu de cesse d'afficher sa "rock'n roll attitude" et une belle énergie, quelques semaines après une hospitalisation de cinq jours dans les Antilles françaises, officiellement pour une gêne respiratoire.
Après une heure et demie de spectacle, le rockeur s'est lancé dans un "Que je t'aime" fougueux, rythmé par l'écho amoureux de ses fans survoltés, avant de conclure par la chanson de Jacques Brel "Quand on a que l'amour" accompagné des notes sobres d'un piano solo.
A la sortie, les spectateurs sourire aux lèvres ont tous salué la performance, le charisme et la grande forme de Johnny Hallyday.
"C'est mon 400e concert de Johnny et il est dans une forme incroyable, c'est le meilleur", s'est réjoui un fan venu d'Orléans qui se surnomme Johnny Rider.
"On sent qu'il est content d'être revenu, c'était du grand Johnny ce soir", a renchéri David Bour, 30 ans, arborant un tee-shirt à l'effigie de son idole.
Même ferveur pour Elisabeth Dalle, 49 ans qui a souligné "l'énergie incroyable" du rockeur "qui tient son public de bout en bout avec amour".
Le chanteur est attendu samedi à Amiens avant de poursuivre sa tournée dans les Zénith de province, ainsi que dans les salles de Londres, Bruxelles, Luxembourg et Genève. Sa tournée s'achèvera le 22 décembre à Marseille.
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Intro
Allumer le feu
Je suis né dans la rue
Excuse moi partenaire
Ma gueule
Marie
Deux étrangers
Diégo
Quelque chose de Tenessee
Rock'n'roll attitude
I who have nothing (en duo avec Amy Keys)
Intermède : Hi heel snakers
Gabrielle
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L'idole des jeunes
Joue pas de rock'n roll pour moi
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Elle est terrible
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Dernière édition par RONIQUE63 le Mar 16 Oct 2012 - 10:07, édité 1 fois
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
18 octobre Esch sur Alzette Luxembourg
"L'essentiel online"
À 69 ans, la star française du rock a fait le show jeudi soir, comme à son habitude.
«Quoi ma gueule, qu’est ce qu’elle a ma gueule?». Si les années ont évidemment buriné le visage du rockeur, elles n’ont que très peu entamé son énergie et son coffre. Johnny Hallyday se produisait jeudi soir au Luxembourg, après New York et Londres, dans le cadre de sa dernière tournée, entamée au printemps et se poursuivant jusqu’en décembre, après un break estival et quelques ennuis de santé qui semblent désormais bien loin.
C’est dans une atmosphère inquiétante, à la «Terminator», avec le bruit d’un cœur qui bat, que le spectacle débutait pour les 4 500 fans rassemblés dans la Rockhal, qui accueillait pour l’occasion une des plus grosses scènes de son histoire. Le mur de briques virtuelles explosait, laissant apparaître une sphère métallique qui portait la star. Johnny en surgissait, vêtu de cuir et la main droite gantée, pour «Allumer le feu», comme le veut la tradition.
La température grimpait d’un coup, et le rockeur d’y contribuer avec «Je suis né dans la rue» ou encore «Ma gueule». La «Rock’n’roll attitude» était bien là, tempérée régulièrement par ses hits en forme de ballades, comme «Marie», «Diego» ou «Quelque chose de Tennessee».
Toutes les périodes de l'incroyable carrière du rockeur défilaient, «Gabrielle» côtoyait les sixties avec «Excuse moi partenaire», et une reprise de «Hey Joe». «On est là pour vous faire plaisir et pour passer une bonne soirée avec vous» déclarait la star à son public. Car pour les fans, qui n'en n’étaient que très rarement à leur premier concert; et même s’ils sont aujourd’hui moins jeunes, Johnny restera toujours leur idole.
http://www.lessentiel.lu/fr/sortir/concerts_et_soirees/story/Johnny-a-allume-le-feu-a-la-Rockhal-25094668
"L'essentiel online"
À 69 ans, la star française du rock a fait le show jeudi soir, comme à son habitude.
«Quoi ma gueule, qu’est ce qu’elle a ma gueule?». Si les années ont évidemment buriné le visage du rockeur, elles n’ont que très peu entamé son énergie et son coffre. Johnny Hallyday se produisait jeudi soir au Luxembourg, après New York et Londres, dans le cadre de sa dernière tournée, entamée au printemps et se poursuivant jusqu’en décembre, après un break estival et quelques ennuis de santé qui semblent désormais bien loin.
C’est dans une atmosphère inquiétante, à la «Terminator», avec le bruit d’un cœur qui bat, que le spectacle débutait pour les 4 500 fans rassemblés dans la Rockhal, qui accueillait pour l’occasion une des plus grosses scènes de son histoire. Le mur de briques virtuelles explosait, laissant apparaître une sphère métallique qui portait la star. Johnny en surgissait, vêtu de cuir et la main droite gantée, pour «Allumer le feu», comme le veut la tradition.
La température grimpait d’un coup, et le rockeur d’y contribuer avec «Je suis né dans la rue» ou encore «Ma gueule». La «Rock’n’roll attitude» était bien là, tempérée régulièrement par ses hits en forme de ballades, comme «Marie», «Diego» ou «Quelque chose de Tennessee».
Toutes les périodes de l'incroyable carrière du rockeur défilaient, «Gabrielle» côtoyait les sixties avec «Excuse moi partenaire», et une reprise de «Hey Joe». «On est là pour vous faire plaisir et pour passer une bonne soirée avec vous» déclarait la star à son public. Car pour les fans, qui n'en n’étaient que très rarement à leur premier concert; et même s’ils sont aujourd’hui moins jeunes, Johnny restera toujours leur idole.
http://www.lessentiel.lu/fr/sortir/concerts_et_soirees/story/Johnny-a-allume-le-feu-a-la-Rockhal-25094668
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Dernière édition par RONIQUE63 le Lun 22 Oct 2012 - 11:43, édité 1 fois
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Dernière édition par RONIQUE63 le Sam 27 Oct 2012 - 23:58, édité 2 fois
Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
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Johnny Hallyday enflamme le Kremlin pour son premier concert à Moscou
MOSCOU (AFP) - 27.10.2012 20:11 - Par Maria PANINA
Le rockeur français Johnny Hallyday a enflammé samedi soir le Palais des congrès du Kremlin, en présentant un mélange de rock et d'effets spéciaux devant le public russe à l'occasion de son premier concert à Moscou.
"On est ici pour s'amuser. Je vais vous donner envie de passer une bonne soirée", a lancé le rockeur le plus célèbre de France, pantalon de cuir noir et santiags, après avoir chanté son tube "Allumer le feu".
Même si la salle n'était pas pleine, n'ayant réuni que 3.000 spectateurs, l'accueil réservé au chanteur n'en a pas été moins chaleureux.
"Johnny! Johnny!", ont scandé ses fans tout au long du concert, le saluant debout, alors que beaucoup de jeunes filles étaient venues en T-shirts blancs et noirs décorés de son portrait.
Après s'être produit cette année dans plusieurs capitales européennes dans le cadre de sa tournée d'adieux, le chanteur a dû cette fois se passer des effets pyrotechniques qui ont marqué ses concerts précédents, la présence de flammes sur scène ayant été jugée dangereuse par le service de sécurité du Kremlin, la résidence officielle du président russe Vladimir Poutine.
Quand il a chanté "Quelque chose de Tennessee", accompagné d'un orchestre symphonique russe, les applaudissements ont explosé dans la salle.
Et quand il a interprété l'un de ses plus grands succès, "Que je t'aime", les spectateurs ont chanté avec lui, brandissant des centaines de coeurs en papier blanc.
Le public russe "ne réagit pas comme le public qu'on a l'habitude d'avoir à Londres, à Paris ou à New York. C'est différent. Ils sont pas très chauds au début, mais ils se réchauffent de plus en plus. Ils ont été vraiment bien", a déclaré Johnny Hallyday à l'AFP après le concert.
Le chanteur, qui a vendu près de 100 millions d'albums et rassemblé 28 millions de spectateurs en concert depuis ses débuts en 1960, a attendu ses 69 ans pour venir à Moscou.
"Comme disent les Français, ils veulent le garder pour eux. Et nous sommes vraiment chanceux de pouvoir assister à ce concert", a confié à l'AFP Tatiana Pissman, 23 ans.
"C'est un miracle qu'il soit venu en Russie. C'est dommage que le concert soit si court!", s'est exclamée Valentina Kornicheva, 54 ans, à l'issue de ce concert qui a duré deux heures.
Anna Plich, 26 ans, est venue "exprès" de Saint-Pétersbourg (nord-ouest) pour voir Johnny Hallyday, un "chanteur magnifique", selon elle.
Pour sa part, Valéri Klébanov, qui a fêté samedi ses 65 ans, dit avoir "écouté Johnny encore dans les années 1960" et trouve que le rockeur a toujours "l'air très jeune et sportif".
Ovationné par le public, le chanteur est revenu deux fois sur scène après la fin du concert.
"J'aimerais bien revenir à Moscou, avec plaisir. Et même ailleurs en Russie, pas qu'à Moscou. J'aime beaucoup le pays, moi", a déclaré Johnny à l'AFP.
© 2012 AFP
Et apres..30 OCTOBRE 2012 – Tel-Aviv –
Johnny Hallyday enflamme le Kremlin pour son premier concert à Moscou
MOSCOU (AFP) - 27.10.2012 20:11 - Par Maria PANINA
Le rockeur français Johnny Hallyday a enflammé samedi soir le Palais des congrès du Kremlin, en présentant un mélange de rock et d'effets spéciaux devant le public russe à l'occasion de son premier concert à Moscou.
"On est ici pour s'amuser. Je vais vous donner envie de passer une bonne soirée", a lancé le rockeur le plus célèbre de France, pantalon de cuir noir et santiags, après avoir chanté son tube "Allumer le feu".
Même si la salle n'était pas pleine, n'ayant réuni que 3.000 spectateurs, l'accueil réservé au chanteur n'en a pas été moins chaleureux.
"Johnny! Johnny!", ont scandé ses fans tout au long du concert, le saluant debout, alors que beaucoup de jeunes filles étaient venues en T-shirts blancs et noirs décorés de son portrait.
Après s'être produit cette année dans plusieurs capitales européennes dans le cadre de sa tournée d'adieux, le chanteur a dû cette fois se passer des effets pyrotechniques qui ont marqué ses concerts précédents, la présence de flammes sur scène ayant été jugée dangereuse par le service de sécurité du Kremlin, la résidence officielle du président russe Vladimir Poutine.
Quand il a chanté "Quelque chose de Tennessee", accompagné d'un orchestre symphonique russe, les applaudissements ont explosé dans la salle.
Et quand il a interprété l'un de ses plus grands succès, "Que je t'aime", les spectateurs ont chanté avec lui, brandissant des centaines de coeurs en papier blanc.
Le public russe "ne réagit pas comme le public qu'on a l'habitude d'avoir à Londres, à Paris ou à New York. C'est différent. Ils sont pas très chauds au début, mais ils se réchauffent de plus en plus. Ils ont été vraiment bien", a déclaré Johnny Hallyday à l'AFP après le concert.
Le chanteur, qui a vendu près de 100 millions d'albums et rassemblé 28 millions de spectateurs en concert depuis ses débuts en 1960, a attendu ses 69 ans pour venir à Moscou.
"Comme disent les Français, ils veulent le garder pour eux. Et nous sommes vraiment chanceux de pouvoir assister à ce concert", a confié à l'AFP Tatiana Pissman, 23 ans.
"C'est un miracle qu'il soit venu en Russie. C'est dommage que le concert soit si court!", s'est exclamée Valentina Kornicheva, 54 ans, à l'issue de ce concert qui a duré deux heures.
Anna Plich, 26 ans, est venue "exprès" de Saint-Pétersbourg (nord-ouest) pour voir Johnny Hallyday, un "chanteur magnifique", selon elle.
Pour sa part, Valéri Klébanov, qui a fêté samedi ses 65 ans, dit avoir "écouté Johnny encore dans les années 1960" et trouve que le rockeur a toujours "l'air très jeune et sportif".
Ovationné par le public, le chanteur est revenu deux fois sur scène après la fin du concert.
"J'aimerais bien revenir à Moscou, avec plaisir. Et même ailleurs en Russie, pas qu'à Moscou. J'aime beaucoup le pays, moi", a déclaré Johnny à l'AFP.
© 2012 AFP
Et apres..30 OCTOBRE 2012 – Tel-Aviv –
Dernière édition par RONIQUE63 le Dim 28 Oct 2012 - 10:45, édité 1 fois
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
Le point.fr
Hallyday: "J'ai failli venir en Israël au moment de la Guerre des Six Jours"
Pour sa première visite en Israël, Johnny Hallyday a confié lundi qu'il avait "failli" venir soutenir l'Etat hébreu au moment de la Guerre des Six Jours en juin 1967, mais que le temps qu'il arrive, le conflit était fini.
Pour sa première visite en Israël, Johnny Hallyday a confié lundi qu'il avait "failli" venir soutenir l'Etat hébreu au moment de la Guerre des Six Jours en juin 1967, mais que le temps qu'il arrive, le conflit était fini.
"J'ai beaucoup d'amis ici. J'ai failli venir au moment de la Guerre des Six jours, mais c'était fini avant que j'arrive", a raconté le rockeur français à la chaîne privée 10, à la veille de son premier et unique concert en Israël.
"C'est une occasion formidable de venir ici. Je regrette de venir si tard mais mieux vaut tard que jamais", a ajouté le chanteur.
Lundi après-midi, des centaines de fans l'ont acclamé lors d'une réception à la résidence de France à Jaffa, près de Tel-Aviv.
"Demain, je peux mourir en paix", a assuré à l'AFP Philippe Coubard, 56 ans, un admirateur du chanteur "depuis plus de 50 ans", venu de France pour le concert de mardi à Tel Aviv. "Mon fils s'appelle Jean-Philippe (le prénom de naissance du chanteur) et mon chien Johnny... C'est l'un de mes dieux".
Johnny Hallyday fait escale pour la première fois de sa carrière en Israël dans le cadre d'une tournée mondiale. "L'Elvis français" --comme l'a surnommé la télé israélienne-- est arrivé en Israël, accompagné de son épouse Laetitia, après un concert enflammé samedi au Kremlin.
Le chanteur de 69 ans s'est rendu au Mur des Lamentations à Jérusalem, lieu sacré du judaïsme, dans la Vieille ville de Jérusalem, et a été reçu par le président israélien, le très francophile Shimon Peres.
Après avoir lancé en avril une tournée d'adieux, Johnny Hallyday avait dû être hospitalisé durant cinq jours aux Antilles, officiellement à cause d'une gêne respiratoire. Il est finalement remonté sur scène cinq semaines plus tard à Montréal.
Depuis ses débuts en 1960, il a vendu près de 100 millions d'albums et rassemblé 28 millions de spectateurs en concert.
**************************
Hallyday: "J'ai failli venir en Israël au moment de la Guerre des Six Jours"
Pour sa première visite en Israël, Johnny Hallyday a confié lundi qu'il avait "failli" venir soutenir l'Etat hébreu au moment de la Guerre des Six Jours en juin 1967, mais que le temps qu'il arrive, le conflit était fini.
Pour sa première visite en Israël, Johnny Hallyday a confié lundi qu'il avait "failli" venir soutenir l'Etat hébreu au moment de la Guerre des Six Jours en juin 1967, mais que le temps qu'il arrive, le conflit était fini.
"J'ai beaucoup d'amis ici. J'ai failli venir au moment de la Guerre des Six jours, mais c'était fini avant que j'arrive", a raconté le rockeur français à la chaîne privée 10, à la veille de son premier et unique concert en Israël.
"C'est une occasion formidable de venir ici. Je regrette de venir si tard mais mieux vaut tard que jamais", a ajouté le chanteur.
Lundi après-midi, des centaines de fans l'ont acclamé lors d'une réception à la résidence de France à Jaffa, près de Tel-Aviv.
"Demain, je peux mourir en paix", a assuré à l'AFP Philippe Coubard, 56 ans, un admirateur du chanteur "depuis plus de 50 ans", venu de France pour le concert de mardi à Tel Aviv. "Mon fils s'appelle Jean-Philippe (le prénom de naissance du chanteur) et mon chien Johnny... C'est l'un de mes dieux".
Johnny Hallyday fait escale pour la première fois de sa carrière en Israël dans le cadre d'une tournée mondiale. "L'Elvis français" --comme l'a surnommé la télé israélienne-- est arrivé en Israël, accompagné de son épouse Laetitia, après un concert enflammé samedi au Kremlin.
Le chanteur de 69 ans s'est rendu au Mur des Lamentations à Jérusalem, lieu sacré du judaïsme, dans la Vieille ville de Jérusalem, et a été reçu par le président israélien, le très francophile Shimon Peres.
Après avoir lancé en avril une tournée d'adieux, Johnny Hallyday avait dû être hospitalisé durant cinq jours aux Antilles, officiellement à cause d'une gêne respiratoire. Il est finalement remonté sur scène cinq semaines plus tard à Montréal.
Depuis ses débuts en 1960, il a vendu près de 100 millions d'albums et rassemblé 28 millions de spectateurs en concert.
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Re: "JAMAIS SEUL" tournée 2012 Résumé date par date
La suite.....03 et 04 novembre Bruxelles au Forest.....
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