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Gala.fr :FLASHBACK Sylvie sa première nuit avec Johnny
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Gala.fr :FLASHBACK Sylvie sa première nuit avec Johnny
FLASHBACK Sylvie Vartan, le récit de sa première nuit avec Johnny Hallyday
Elle allait avoir 18 ans et sortait du lycée. Il était un rocker très prometteur… Leur love story, qui se concrétisa en 1962, est aujourd'hui mythique !
Hôtel de Noailles. Marseille. Eté 1962. C’est dans ce palace chic et aujourd’hui disparu de la Cannebière qu’ils se sont sans doute aimés pour la première fois. Lui, le fils de personne en passe de devenir l’idole des jeunes yéyés. Elle, la fille d’une famille d’émigrés bulgares ayant fuit le communisme pour venir recommencer leur vie en France. S’ils ont été si prudents à l’époque sur leur secret d’alcôve, si aujourd’hui encore le doute plane toujours sur les circonstances exactes qui ont accompagné leur première étreinte, c’est qu’en ce début des sixties, l’heure n’est pas encore à la libération sexuelle. En cette année de 1962, ce n’est qu’à la fin de l’été que Sylvie Vartan fêtera ses dix-huit ans alors que Johnny a célébré ses 19 ans en juin.
Dans la France du Général de Gaulle, de la fin de la guerre d’Algérie et de l’attentat de l’OAS au Petit Clamart, l’image d’une liaison trop vite affichée entre deux gamins serait évidemment matière à scandale. L’un comme l’autre le sait. Comme des millions de jeunes de leur âge, après le début de leur histoire romantique avec vue sur le Château d’If et l’horizon de la grande bleue, ils vont s’aimer longtemps en cachette avant de dévoiler progressivement leur relation et se marier finalement quelques années plus tard, le 18 avril 1965. C’était il y a plus de cinquante ans. On ne badinait pas – encore – avec l’amour. Et moins encore avec le sexe…
D’autant qu’avec son éducation stricte, la gracieuse débutante qui vient de succomber au regard bleu acier d’un blouson noir -dont le prestige est d’avoir réussi à introduire et populariser le rock'n' roll dans l’Hexagone n’a rien d’une vulgaire groupie. Certes, elle est bien venue le rejoindre dans la cité phocéenne où l’idole donnait une série de concert dans le cadre d’une tournée nationale qui, à l’automne de la même année, le verra triompher à l’Olympia. A moins qu’elle n’ait fait le voyage pour Jean-Jacques Debout, l’ami de Johnny qui assurait alors la première partie du tour de chant, et qui se sera finalement fait chiper son béguin par son pote sans pourtant lui en tenir rancœur.
Le mari de Chantal Goya se souvient : « Un jour à Marseille, Sylvie est venue nous rejoindre avec son frère Eddie, et le soir même, Johnny m'a demandé de céder ma place à Sylvie dans sa tournée… J'ai compris à ce moment-là qu'il se passait quelque chose entre eux. À cette époque, nous étions amoureux de la même personne : Sylvie. Bien qu'ayant été très épris d’elle, je ne me suis jamais vraiment fâché avec Johnny. De toute façon, je savais que pour moi la cause était perdue » Non pas qu’elle soit une fille facile. A l’époque, la sylphide cherche bien autre chose qu’une amourette comme celle qui font les délices de Salut les Copains, ce nouveau magazine lancé par Daniel Filipacchi et dont les jeunes ont fait leur bible.
Très classique, cette Slave réservée à l’âme ardente aspire à rencontrer le prince charmant qui lui demanderait sa main pour fonder un foyer uni et heureux. « Je veux trouver une stabilité, explique-t-elle dans la presse à ses débuts. Dans mon métier, c’est très important. Quand on part en tournée, on a besoin de se dire : j’ai un mari qui m’aime, j’ai une famille, j’appartiens à mon homme… » C’est susurré du bout de la langue. Avec candeur et retenue. A peine plus d’un an plus tôt, en 1961, Mademoiselle était encore lycéenne. Sensible et sérieuse, elle croit sincèrement que les jeunes filles doivent être sages, obéir à leurs parents, ne pas traîner dans les surboums…
Sylvie Vartan est entrée dans la musique par hasard. Ses goûts la portaient plutôt vers la comédie, le cinéma, le théâtre. Mais, en interprétant en duo « Panne d’Essence », Sylvie a fait d’une chansonnette un peu bébête écrite pour elle par son frère Eddie Vartan, trompettiste talentueux et reconnu de jazz, futur arrangeur du son de Johnny pendant des années, un tube qui décidera de son destin. Comme Françoise Hardy et bientôt France Gall, les deux autres chanteuses phares de la nouvelle génération, Sylvie accroche la lumière. Elle a ce je ne sais quoi qui fait chavirer le cœur du public. Immédiatement, elle pointe tout en haut des hits parades de l’époque.
Avec instinct et à une époque où le must était d’adapter des standards américains à la sauce française, Sylvie a longtemps aidé Johnny à enrichir son répertoire de pépites musicales qu’elle avait repérées avant les autres. Quitte à ce qu’il enregistre à son compte certaines trouvailles qu’elle comptait se garder : comme « Joue pas de rock'n'roll pour moi » ce morceau entêtant dont le rocker a fait l’un de ses plus gros tubes. Auprès de son mari, pendant presque vingt ans, jusqu’à leur divorce, en 1980, Sylvie Vartan a tenu le rôle de la femme nourricière et capable de pardonner toutes ses sorties de routes.
En 1966, quelques mois après la naissance de leur fils David, lorsqu’elle demandera une première fois la séparation, acculée par la conduite ingérable de son homme, ses frasques, ses infidélités, ses beuveries, Johnny tentera de se suicider en se tailladant les veines dans sa salle de bains. « Sylvie a été sa boussole, sa meilleure conseillère, son plus fidèle soutien, explique Fabien Lecoeuvre, l’attaché de presse de Michel Polnareff, auteur de plusieurs biographies. Elle représente les valeurs ancestrales, le roc. »
Leur première rencontre, le 28 décembre 1961, dans les coulisses de l’Olympia, pendant un concert de Vince Taylor, n’en est que plus cocasse. « Eh, tu vois cette fille, lâche soudain Johnny à son copain Eddie Vartan. Je me la taperai bien… » Fanfaronnade d’un matamore qui bombe le torse et s’en revient la queue basse quelques instants plus tard, au bar du théâtre. « Johnny, je te présente ma sœur », répond l’autre. L’accueil est froid. La poignée de main distante. La bise inenvisageable. Une douce créature qui affirme regretter « d’abandonner ses études parce qu’elle ne pourra pas étudier la philosophie » n’éprouve que mépris des gesticulations d’un mauvais garçon crâneur et grande gueule.
« Elle ne l’a pas calculé, poursuit Fabien Lecoeuvre. Il a ramé six mois avant de la séduire. » Au vu de leur happy end marseillais, on pense au sitcom « Plus belle la vie » version vintage. Première tentative de Roméo Hallyday qui invite – en vain – sa rose, en février 1962, à la remise de son premier disque d’or pour sa reprise de « Let’s twist again », le tube planétaire de Chubby Checker, sorti seulement neuf mois plus tôt aux Etats-Unis. Nouveaux désirs déçus tandis qu’il l’effeuille du regard au gré de leurs rencontres fortuites dans les salons de la boîte de nuit chez Castel. Jusqu’au lamento final et désespéré d’une nuit genevoise où, alors qu’ils se retrouvent dans le même hôtel, l’idole demande à son secrétaire, Jean-Pierre Bloch, futur député de Paris, d’aller frapper à sa porte pour lui confier à quel point il se languit d’elle.
Mais, ni la poudre aux yeux, ni les tentations nocturnes, ni les trémolos chevaleresques n’ont raison de ses épines. C’est finalement Daniel Filipacchi qui débloque la situation. La patron de Salut les Copains à l’idée d’inviter les deux pépites du showbiz à faire mieux connaissance autour d’un déjeuner dans sa maison de campagne. Hier comme aujourd’hui, c’est en dévoilant ses failles que Jean-Philippe Smet s’est montré le plus touchant, le plus séduisant. « Il était très mal à l’aise, très timide, très sensible. C’est alors que Sylvie a vraiment craqué » termine Fabien Lecoeuvre.
Réflexion amusée et féminine de l’intéressée : « Je cherchais un brun aux yeux noirs. J’ai craqué pour un blond aux yeux bleus. Il avait un côté chien perdu sans collier irrésistible. » Le temps a fait le reste. Quelques mois plus tard, en cette soirée marseillaise de l’été 1962, lorsque le fils de personne a enfin cueilli sa rose et que celle-ci a accepté de le suivre jusqu’au bout de sa tournée et bien au-delà, Johnny Hallyday s’est illuminé. Dorénavant, cette chanson que lui a écrit Charles Aznavour et qui plait tellement à tout le monde, il ne la susurrera que pour elle. Retiens la nuit. Pour nous deux. Jusqu’à la fin du monde…
Elle allait avoir 18 ans et sortait du lycée. Il était un rocker très prometteur… Leur love story, qui se concrétisa en 1962, est aujourd'hui mythique !
Hôtel de Noailles. Marseille. Eté 1962. C’est dans ce palace chic et aujourd’hui disparu de la Cannebière qu’ils se sont sans doute aimés pour la première fois. Lui, le fils de personne en passe de devenir l’idole des jeunes yéyés. Elle, la fille d’une famille d’émigrés bulgares ayant fuit le communisme pour venir recommencer leur vie en France. S’ils ont été si prudents à l’époque sur leur secret d’alcôve, si aujourd’hui encore le doute plane toujours sur les circonstances exactes qui ont accompagné leur première étreinte, c’est qu’en ce début des sixties, l’heure n’est pas encore à la libération sexuelle. En cette année de 1962, ce n’est qu’à la fin de l’été que Sylvie Vartan fêtera ses dix-huit ans alors que Johnny a célébré ses 19 ans en juin.
Dans la France du Général de Gaulle, de la fin de la guerre d’Algérie et de l’attentat de l’OAS au Petit Clamart, l’image d’une liaison trop vite affichée entre deux gamins serait évidemment matière à scandale. L’un comme l’autre le sait. Comme des millions de jeunes de leur âge, après le début de leur histoire romantique avec vue sur le Château d’If et l’horizon de la grande bleue, ils vont s’aimer longtemps en cachette avant de dévoiler progressivement leur relation et se marier finalement quelques années plus tard, le 18 avril 1965. C’était il y a plus de cinquante ans. On ne badinait pas – encore – avec l’amour. Et moins encore avec le sexe…
D’autant qu’avec son éducation stricte, la gracieuse débutante qui vient de succomber au regard bleu acier d’un blouson noir -dont le prestige est d’avoir réussi à introduire et populariser le rock'n' roll dans l’Hexagone n’a rien d’une vulgaire groupie. Certes, elle est bien venue le rejoindre dans la cité phocéenne où l’idole donnait une série de concert dans le cadre d’une tournée nationale qui, à l’automne de la même année, le verra triompher à l’Olympia. A moins qu’elle n’ait fait le voyage pour Jean-Jacques Debout, l’ami de Johnny qui assurait alors la première partie du tour de chant, et qui se sera finalement fait chiper son béguin par son pote sans pourtant lui en tenir rancœur.
Le mari de Chantal Goya se souvient : « Un jour à Marseille, Sylvie est venue nous rejoindre avec son frère Eddie, et le soir même, Johnny m'a demandé de céder ma place à Sylvie dans sa tournée… J'ai compris à ce moment-là qu'il se passait quelque chose entre eux. À cette époque, nous étions amoureux de la même personne : Sylvie. Bien qu'ayant été très épris d’elle, je ne me suis jamais vraiment fâché avec Johnny. De toute façon, je savais que pour moi la cause était perdue » Non pas qu’elle soit une fille facile. A l’époque, la sylphide cherche bien autre chose qu’une amourette comme celle qui font les délices de Salut les Copains, ce nouveau magazine lancé par Daniel Filipacchi et dont les jeunes ont fait leur bible.
Très classique, cette Slave réservée à l’âme ardente aspire à rencontrer le prince charmant qui lui demanderait sa main pour fonder un foyer uni et heureux. « Je veux trouver une stabilité, explique-t-elle dans la presse à ses débuts. Dans mon métier, c’est très important. Quand on part en tournée, on a besoin de se dire : j’ai un mari qui m’aime, j’ai une famille, j’appartiens à mon homme… » C’est susurré du bout de la langue. Avec candeur et retenue. A peine plus d’un an plus tôt, en 1961, Mademoiselle était encore lycéenne. Sensible et sérieuse, elle croit sincèrement que les jeunes filles doivent être sages, obéir à leurs parents, ne pas traîner dans les surboums…
Sylvie Vartan est entrée dans la musique par hasard. Ses goûts la portaient plutôt vers la comédie, le cinéma, le théâtre. Mais, en interprétant en duo « Panne d’Essence », Sylvie a fait d’une chansonnette un peu bébête écrite pour elle par son frère Eddie Vartan, trompettiste talentueux et reconnu de jazz, futur arrangeur du son de Johnny pendant des années, un tube qui décidera de son destin. Comme Françoise Hardy et bientôt France Gall, les deux autres chanteuses phares de la nouvelle génération, Sylvie accroche la lumière. Elle a ce je ne sais quoi qui fait chavirer le cœur du public. Immédiatement, elle pointe tout en haut des hits parades de l’époque.
Avec instinct et à une époque où le must était d’adapter des standards américains à la sauce française, Sylvie a longtemps aidé Johnny à enrichir son répertoire de pépites musicales qu’elle avait repérées avant les autres. Quitte à ce qu’il enregistre à son compte certaines trouvailles qu’elle comptait se garder : comme « Joue pas de rock'n'roll pour moi » ce morceau entêtant dont le rocker a fait l’un de ses plus gros tubes. Auprès de son mari, pendant presque vingt ans, jusqu’à leur divorce, en 1980, Sylvie Vartan a tenu le rôle de la femme nourricière et capable de pardonner toutes ses sorties de routes.
En 1966, quelques mois après la naissance de leur fils David, lorsqu’elle demandera une première fois la séparation, acculée par la conduite ingérable de son homme, ses frasques, ses infidélités, ses beuveries, Johnny tentera de se suicider en se tailladant les veines dans sa salle de bains. « Sylvie a été sa boussole, sa meilleure conseillère, son plus fidèle soutien, explique Fabien Lecoeuvre, l’attaché de presse de Michel Polnareff, auteur de plusieurs biographies. Elle représente les valeurs ancestrales, le roc. »
Leur première rencontre, le 28 décembre 1961, dans les coulisses de l’Olympia, pendant un concert de Vince Taylor, n’en est que plus cocasse. « Eh, tu vois cette fille, lâche soudain Johnny à son copain Eddie Vartan. Je me la taperai bien… » Fanfaronnade d’un matamore qui bombe le torse et s’en revient la queue basse quelques instants plus tard, au bar du théâtre. « Johnny, je te présente ma sœur », répond l’autre. L’accueil est froid. La poignée de main distante. La bise inenvisageable. Une douce créature qui affirme regretter « d’abandonner ses études parce qu’elle ne pourra pas étudier la philosophie » n’éprouve que mépris des gesticulations d’un mauvais garçon crâneur et grande gueule.
« Elle ne l’a pas calculé, poursuit Fabien Lecoeuvre. Il a ramé six mois avant de la séduire. » Au vu de leur happy end marseillais, on pense au sitcom « Plus belle la vie » version vintage. Première tentative de Roméo Hallyday qui invite – en vain – sa rose, en février 1962, à la remise de son premier disque d’or pour sa reprise de « Let’s twist again », le tube planétaire de Chubby Checker, sorti seulement neuf mois plus tôt aux Etats-Unis. Nouveaux désirs déçus tandis qu’il l’effeuille du regard au gré de leurs rencontres fortuites dans les salons de la boîte de nuit chez Castel. Jusqu’au lamento final et désespéré d’une nuit genevoise où, alors qu’ils se retrouvent dans le même hôtel, l’idole demande à son secrétaire, Jean-Pierre Bloch, futur député de Paris, d’aller frapper à sa porte pour lui confier à quel point il se languit d’elle.
Mais, ni la poudre aux yeux, ni les tentations nocturnes, ni les trémolos chevaleresques n’ont raison de ses épines. C’est finalement Daniel Filipacchi qui débloque la situation. La patron de Salut les Copains à l’idée d’inviter les deux pépites du showbiz à faire mieux connaissance autour d’un déjeuner dans sa maison de campagne. Hier comme aujourd’hui, c’est en dévoilant ses failles que Jean-Philippe Smet s’est montré le plus touchant, le plus séduisant. « Il était très mal à l’aise, très timide, très sensible. C’est alors que Sylvie a vraiment craqué » termine Fabien Lecoeuvre.
Réflexion amusée et féminine de l’intéressée : « Je cherchais un brun aux yeux noirs. J’ai craqué pour un blond aux yeux bleus. Il avait un côté chien perdu sans collier irrésistible. » Le temps a fait le reste. Quelques mois plus tard, en cette soirée marseillaise de l’été 1962, lorsque le fils de personne a enfin cueilli sa rose et que celle-ci a accepté de le suivre jusqu’au bout de sa tournée et bien au-delà, Johnny Hallyday s’est illuminé. Dorénavant, cette chanson que lui a écrit Charles Aznavour et qui plait tellement à tout le monde, il ne la susurrera que pour elle. Retiens la nuit. Pour nous deux. Jusqu’à la fin du monde…
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