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Message  RONIQUE63 Mar 27 Sep 2016 - 9:05

FLASHBACK Sylvie Vartan, le récit de sa première nuit avec Johnny Hally­day

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Elle allait avoir 18 ans et sortait du lycée. Il était un rocker très promet­teur… Leur love story, qui se concré­tisa en 1962, est aujourd'hui mythique !

Hôtel de Noailles. Marseille. Eté 1962. C’est dans ce palace chic et aujourd’­hui disparu de la Canne­bière qu’ils se sont sans doute aimés pour la première fois. Lui, le fils de personne en passe de deve­nir l’idole des jeunes yéyés. Elle, la fille d’une famille d’émi­grés bulgares ayant fuit le commu­nisme pour venir recom­men­cer leur vie en France. S’ils ont été si prudents à l’époque sur leur secret d’al­côve, si aujourd’­hui encore le doute plane toujours sur les circons­tances exactes qui ont accom­pa­gné leur première étreinte, c’est qu’en ce début des sixties, l’heure n’est pas encore à la libé­ra­tion sexuelle. En cette année de 1962, ce n’est qu’à la fin de l’été que Sylvie Vartan fêtera ses dix-huit ans alors que Johnny a célé­bré ses 19 ans en juin.

Dans la France du Géné­ral de Gaulle, de la fin de la guerre d’Al­gé­rie et de l’at­ten­tat de l’OAS au Petit Clamart, l’image d’une liai­son trop vite affi­chée entre deux gamins serait évidem­ment matière à scan­dale. L’un comme l’autre le sait. Comme des millions de jeunes de leur âge, après le début de leur histoire roman­tique avec vue sur le Château d’If et l’ho­ri­zon de la grande bleue, ils vont s’ai­mer long­temps en cachette avant de dévoi­ler progres­si­ve­ment leur rela­tion et se marier fina­le­ment quelques années plus tard, le 18 avril 1965. C’était il y a plus de cinquante ans. On ne badi­nait pas – encore – avec l’amour. Et moins encore avec le sexe…

D’au­tant qu’a­vec son éduca­tion stricte, la gracieuse débu­tante qui vient de succom­ber au regard bleu acier d’un blou­son noir -dont le pres­tige est d’avoir réussi à intro­duire et popu­la­ri­ser le rock'n' roll dans l’Hexa­gone n’a rien d’une vulgaire grou­pie. Certes, elle est bien venue le rejoindre dans la cité phocéenne où l’idole donnait une série de concert dans le cadre d’une tour­née natio­nale qui, à l’au­tomne de la même année, le verra triom­pher à l’Olym­pia. A moins qu’elle n’ait fait le voyage pour Jean-Jacques Debout, l’ami de Johnny qui assu­rait alors la première partie du tour de chant, et qui se sera fina­le­ment fait chiper son béguin par son pote sans pour­tant lui en tenir rancœur.

Le mari de Chan­tal Goya se souvient : « Un jour à Marseille, Sylvie est venue nous rejoindre avec son frère Eddie, et le soir même, Johnny m'a demandé de céder ma place à Sylvie dans sa tour­née… J'ai compris à ce moment-là qu'il se passait quelque chose entre eux. À cette époque, nous étions amou­reux de la même personne : Sylvie. Bien qu'ayant été très épris d’elle, je ne me suis jamais vrai­ment fâché avec Johnny. De toute façon, je savais que pour moi la cause était perdue » Non pas qu’elle soit une fille facile. A l’époque, la sylphide cherche bien autre chose qu’une amou­rette comme celle qui font les délices de Salut les Copains, ce nouveau maga­zine lancé par Daniel Fili­pac­chi et dont les jeunes ont fait leur bible.

Très clas­sique, cette Slave réser­vée à l’âme ardente aspire à rencon­trer le prince char­mant qui lui deman­de­rait sa main pour fonder un foyer uni et heureux. « Je veux trou­ver une stabi­lité, explique-t-elle dans la presse à ses débuts. Dans mon métier, c’est très impor­tant. Quand on part en tour­née, on a besoin de se dire : j’ai un mari qui m’aime, j’ai une famille, j’ap­par­tiens à mon homme… » C’est susurré du bout de la langue. Avec candeur et rete­nue. A peine plus d’un an plus tôt, en 1961, Made­moi­selle était encore lycéenne. Sensible et sérieuse, elle croit sincè­re­ment que les jeunes filles doivent être sages, obéir à leurs parents, ne pas traî­ner dans les surboums…

Sylvie Vartan est entrée dans la musique par hasard. Ses goûts la portaient plutôt vers la comé­die, le cinéma, le théâtre. Mais, en inter­pré­tant en duo « Panne d’Es­sence », Sylvie a fait d’une chan­son­nette un peu bébête écrite pour elle par son frère Eddie Vartan, trom­pet­tiste talen­tueux et reconnu de jazz, futur arran­geur du son de Johnny pendant des années, un tube qui déci­dera de son destin. Comme Françoise Hardy et bien­tôt France Gall, les deux autres chan­teuses phares de la nouvelle géné­ra­tion, Sylvie accroche la lumière. Elle a ce je ne sais quoi qui fait chavi­rer le cœur du public. Immé­dia­te­ment, elle pointe tout en haut des hits parades de l’époque.

Avec instinct et à une époque où le must était d’adap­ter des stan­dards améri­cains à la sauce française, Sylvie a long­temps aidé Johnny à enri­chir son réper­toire de pépites musi­cales qu’elle avait repé­rées avant les autres. Quitte à ce qu’il enre­gistre à son compte certaines trou­vailles qu’elle comp­tait se garder : comme « Joue pas de rock'n'roll pour moi » ce morceau entê­tant dont le rocker a fait l’un de ses plus gros tubes. Auprès de son mari, pendant presque vingt ans, jusqu’à leur divorce, en 1980, Sylvie Vartan a tenu le rôle de la femme nour­ri­cière et capable de pardon­ner toutes ses sorties de routes.

En 1966, quelques mois après la nais­sance de leur fils David, lorsqu’elle deman­dera une première fois la sépa­ra­tion, accu­lée par la conduite ingé­rable de son homme, ses frasques, ses infi­dé­li­tés, ses beuve­ries, Johnny tentera de se suici­der en se tailla­dant les veines dans sa salle de bains. « Sylvie a été sa bous­sole, sa meilleure conseillère, son plus fidèle soutien, explique Fabien Lecoeuvre, l’at­ta­ché de presse de Michel Polna­reff, auteur de plusieurs biogra­phies. Elle repré­sente les valeurs ances­trales, le roc. »

Leur première rencontre, le 28 décembre 1961, dans les coulisses de l’Olym­pia, pendant un concert de Vince Taylor, n’en est que plus cocasse. « Eh, tu vois cette fille, lâche soudain Johnny à son copain Eddie Vartan. Je me la tape­rai bien… » Fanfa­ron­nade d’un mata­more qui bombe le torse et s’en revient la queue basse quelques instants plus tard, au bar du théâtre. « Johnny, je te présente ma sœur », répond l’autre. L’ac­cueil est froid. La poignée de main distante. La bise inen­vi­sa­geable. Une douce créa­ture qui affirme regret­ter « d’aban­don­ner ses études parce qu’elle ne pourra pas étudier la philo­so­phie » n’éprouve que mépris des gesti­cu­la­tions d’un mauvais garçon crâneur et grande gueule.

« Elle ne l’a pas calculé, pour­suit Fabien Lecoeuvre. Il a ramé six mois avant de la séduire. » Au vu de leur happy end marseillais, on pense au sitcom « Plus belle la vie » version vintage. Première tenta­tive de Roméo Hally­day qui invite – en vain – sa rose, en février 1962, à la remise de son premier disque d’or pour sa reprise de « Let’s twist again », le tube plané­taire de Chubby Checker, sorti seule­ment neuf mois plus tôt aux Etats-Unis. Nouveaux désirs déçus tandis qu’il l’ef­feuille du regard au gré de leurs rencontres fortuites dans les salons de la boîte de nuit chez Castel. Jusqu’au lamento final et déses­péré d’une nuit gene­voise où, alors qu’ils se retrouvent dans le même hôtel, l’idole demande à son secré­taire, Jean-Pierre Bloch, futur député de Paris, d’al­ler frap­per à sa porte pour lui confier à quel point il se languit d’elle.

Mais, ni la poudre aux yeux, ni les tenta­tions nocturnes, ni les trémo­los cheva­le­resques n’ont raison de ses épines. C’est fina­le­ment Daniel Fili­pac­chi qui débloque la situa­tion. La patron de Salut les Copains à l’idée d’in­vi­ter les deux pépites du show­biz à faire mieux connais­sance autour d’un déjeu­ner dans sa maison de campagne. Hier comme aujourd’­hui, c’est en dévoi­lant ses failles que Jean-Philippe Smet s’est montré le plus touchant, le plus sédui­sant. « Il était très mal à l’aise, très timide, très sensible. C’est alors que Sylvie a vrai­ment craqué » termine Fabien Lecoeuvre.

Réflexion amusée et fémi­nine de l’in­té­res­sée : « Je cher­chais un brun aux yeux noirs. J’ai craqué pour un blond aux yeux bleus. Il avait un côté chien perdu sans collier irré­sis­tible. » Le temps a fait le reste. Quelques mois plus tard, en cette soirée marseillaise de l’été 1962, lorsque le fils de personne a enfin cueilli sa rose et que celle-ci a accepté de le suivre jusqu’au bout de sa tour­née et bien au-delà, Johnny Hally­day s’est illu­miné. Doré­na­vant, cette chan­son que lui a écrit Charles Azna­vour et qui plait telle­ment à tout le monde, il ne la susur­rera que pour elle. Retiens la nuit. Pour nous deux. Jusqu’à la fin du monde…
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Message  le rebelle Mer 28 Sep 2016 - 4:29

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